lundi 28 décembre 2009

El Chalten - Cerro Torre et Fitz Roy

Nach vier Tagen wandern in Chile fühlten wir uns natürlich schon fast ein wenig wie die Extrembergsteiger und entschieden deshalb, auch vor den argentinischen Aushängeschildern für Profialpinismus – Cerro Torre und Fitz Roy – nicht Halt zu machen. Aufbruch also nach El Chalten, drei Busstunden nordwestlich von El Calafate.

Die Lust am Wandern wurde dann am frühen Morgen allerdings schon beim Öffnen der Hostel-Türe ein wenig gedämpft. Mann, ist es hier kalt und windig! Noch einmal rein, einen weiteren Tee schlürfen und einen weiteren Pulli einpacken – die wahren Profis halt :-)

Am ersten Tag wurden wir für unseren Exploit dann aber ein weiteres Mal belohnt. In Patagonien, wo das Wetter per Definition einfach schlecht ist, die unteren zwei Drittel des Cerro Torre zu sehen ist doch schon mal etwas und auch den Fitz Roy konnten wir aus einiger Entfernung schon einmal bestaunen. Die zweite Expedition am nächsten Tag viel dann jedoch sozusagen in den Schnee. Wir entschieden uns deshalb für eine abgekürzte Variante und “kletterten” nur bis zum ersten Mirador (Aussichtspunkt). Auch dieser Ausflug hat sich aber gelohnt – mit viel gutem Willen kann man auf den Fotos tatsächlich den Fitz Roy erkennen!

Am Tag unserer Abreise kamen wir dann doch noch in den Genuss stahlklaren Himmels - ein Panorama das seinesgleichen Sucht!

Après quatre jours de randonnée au Chili, nous nous sentions bien évidement comme des pros de la montagne et nous avons décidé de ne pas reculer devant la vitrine de l’alpinisme extrême argentin que forment le Cerro Torre et le Fitz roy. Départ donc pour El Chaltén trois heures au nord d’El Calafate.

L’envie de marcher était cependant déjà diminuée lors de l’ouverture de la porte de notre hostel le lendemain matin. Putain qu’il fait froid… et le vent ! Retour à l’intérieur pour reboire un petit thé et prendre un deuxième pull – les vrais pros quoi !

Le premier jour nous avons une fois de plus été bien récompensés pour notre exploit. En Patagonie où le temps est mauvais par définition, pouvoir voir les deux tiers du Cerro Torre et d’apercevoir le Fitz Roy de loin est déjà pas si mal. L’expédition du jour suivant est en revanche, pour ainsi dire tombée dans la neige. Nous nous sommes donc décidés pour une variante raccourcie et nous avons grimpé uniquement jusqu’au premier mirador. Cette excursion valait toutefois également le coup – avec beaucoup de volonté, on peut effectivement apercevoir le Fitz Roy sur nos photos!

Le jour du départ nous avons finalement quand même eu droit à un ciel bleu et un panaroma sans équivalent!

El Calafate - Parque Nacional de los Glacieres

Après une fête de Noël bien arrosée et rythmée par les feux d’artifices, nous avons rejoint depuis El Calafate le « Parque Nacional de los Glacieres » où se situe le Perito Moreno, célèbre glacier de la Patagonie Argentine.

Pouvoir admirer cette mer de glace et son activité de tout près était pour nous une autre expérience quasiment indescriptible. Le glacier fait parti du « Campo de Hielo Sur », une énorme région de glace continentale (de 350 km de long et d’une surface d’environ 16800 km2). Le glacier en lui-même mesure 60 kilomètres de long et la langue qui se jette dans le lago Argentino est de 5 km de large. La masse de glace avance d’environ un mètre par jour. Des énormes bouts de glace tombent régulièrement dans le lac avec un bruit de tonnerre, encore une fois un moment qui restera gravé dans nos mémoires.

Nach einem feuchtfröhlichen und durch verschiedene Feuerwerke animierten Weihnachtsfest in El Calafate am Ufer des Lago Argentino, stand am nächsten Tag die Besichtigung des «Parque Nacional de los Glacieres» und insbesondere des Gletschers «Perito Moreno» auf dem Programm.

Dieses Eismeer und dessen Aktivität aus nächster Nähe zu bestaunen war für uns ein weiteres, fast unbeschreibbares Erlebnis. Der Gletscher ist Teil des des «Campo de Hielo Sur», einem riesigen kontinentalen Gletschergebiet (dieses hat eine Länge von rund 350 km und eine Fläche von ungefähr 16.800 km²). Der eigentliche Gletscher ist rund 60 Kilometer lang und die in den Lago Argentino mündende Gletscherzunge ist gut 5 Kilometer breit. Die Eismasse schiebt sich pro Tag etwa einen Meter vorwärts. Regelmässig brechen riesige Eisbrocken ab und krachen 60 Meter weiter unten in den See. Ein unglaubliches Spektakel!

samedi 26 décembre 2009

Parque Nacional Torres del Paine

Die Torres del Paine – sicherlich eines der Bilder, das am meisten Südamerika-Fernweh weckt und das Herz jedes Naturliebhabers und Bergfreunds schneller schlagen lässt...

Eine der Besonderheiten der Landschaft hier ist sicher die Stratifizierung der Berge. Oben die schwarzen Sedimentgesteine und unten der graue Granit. Besonders sind aber auch die Farbe der Gletscherseen, die Flora (der chilenische Feurebusch färbt stellenweise die ganze Landschaft rot), die Fauna (wer wird nicht schwach beim Anblick eines Kondors), das im ganzen Park direkt aus den Bächen getrunkene Wasser und das Wetter. Innerhalb eines Tages erlebst du alles, von Sonnenschein über Regen bis hin zum Schneesturm.

Wir erkundigten den Park zu Fuss und mit dem Zelt auf dem Rücken und kamen schon während den ersten drei Tagen kaum mehr aus dem Staunen. Am letzten Morgen die Torres bei Sonnenaufgang und wolkenlosem Himmel bestaunen zu können, dass war dann aber doch schon fast zu viel der Emotionen. Pachamama (für die Völker der Anden die als Göttin verehrte, personifizierte Mutter Erde) von Ihrer schönsten Seite!

Bei all der Begeisterung für den Nationalpark haben wir jetzt beinahe vergessen, dass wir auf dem Weg hierhin auch noch die eine oder andere gemütliche Stadt besucht haben. Während die einen einen kurzen Abstecher nach Santiago machten, genossen die anderen das ruhige Leben in Punta Arenas an der Magellanstrasse. Ausganspunkt für die Torres del Paine bildete Puerto Natales, ein zwar touristisches, aber dennoch irgendwie gemütliches Dörfchen – in the middle of nowhere halt!

Les Torres del Paine, certainement une des images d’Amérique latine qui fait le plus rêver et qui fait battre plus rapidement le cœur de tout amateur de montagne et d’amis de la nature.

Une particularité des montagnes ici est certainement leur stratification. En haut, les sédiments noirs et en bas le granit gris. Particuliers sont cependant également la couleur des lacs de glacier, la flore (le buisson de feu colore par endroit tout le paysage en rouge), la faune (qui ne faiblit pas à la vue d’un condor), l’eau qui se boit partout directement à la rivière et sans oublier la météo. En l’espace d’un jour, tu auras droit à tout, du soleil en passant par la pluie jusqu’à la tempête de neige.

Nous sommes partis à la découverte à pied, la tente sur le dos et avons déjà été émerveillés pendant les trois premiers jours. De pouvoir admirer le dernier jour, les Torres au lever de soleil et sans nuage, était finalement presque trop d’émotion. Pachamama (Terre-Mère, la déesse-terre dans la religion des Amérindiens d'Amérique du Sud) sous son meilleur jour!

Avec toute cette fascination pour le parc national nous avons failli oublier que nous avons sur le chemin également visité quelques villes plutôt sympathiques. Pendant que l’un faisait un petit détour par Santiago du Chili, l’autre profitait de la vie calme à Punta Arenas au bord du détroit de Magellan. Par la suite à Puerto Natales, le point de départ pour les Torres del Paine, une ville évidement touristique mais tout de même bien cosi – au milieu de nulle part.

Rio Gallegos - Ushuaia : El fin del Mundo

Les deux fois dix neuf heures de bus de Puerto Madryn à Rio Gallegos puis à Ushuaia nous ont données un petit aperçu de ce qu’est la Patagonie. Un paysage nous rappelant parfois notre expérience « Nullarbor Plain » australienne, des immensités quasiment désertes, du bush, du bush et encore du bush. Les Guanacos (sorte de lama local) et les nandous (oiseaux ressemblant aux autruches) nous ont cependant sans cesse rappelés que nous étions bien en Argentine !

Changement de décor en traversant le détroit de Magellan (passage maritime traversé par Ferdinand Magellan en 1520 alors qu’il voulait rejoindre l’Indonésie par l’ouest) en entrant dans la Tierra del Fuego : Arrivée des arbres tout d’abord, suivi des montagnes enneigées et des cours d’eaux dans lesquels tout le monde pêche, encore quelques virages et nous voilà à Ushuaia !!

Ushuaia, ville de 61000 habitants al fin del mundo où la lumière est pour nous du jamais vu et où le soleil se couche à 23 h. Si ce n’était pour les bateaux d’expédition pour l’Antarctique (nous sommes à 1000 km de l’Antarctique et à 3000 kilomètres du Pôle Sud), nous aurions cependant eu de la peine à croire que nous nous trouvions à la fin du monde. La vie y est moderne, on peut tout y trouver, des magasins d’informatique aux concessionnaires automobiles.

Un des points fort de notre visite a surement été la randonnée dans le « Parque Nacional Tierra del Fuego » qui s’étend de la frontière chilienne au canal de Beagle.

Zweimal 19 Stunden Bus von Puerto Madryn nach Rio Gallegos und dann weiter nach Ushuaia waren gerade richtig um einen ersten Eindruck von Patagonien zu erhalten. Landschaften, die uns stellenweise an unser “Nullarbor-Erlebnis” in Australien erinnerten, Busch, Busch und noch einmal Busch. Die unzähligen Guanacos (Familie der Kamele und den Lamas gleichend) und Nandus (straussähnliche Vögel) machten aber klar, dass Argentinien und nicht Australien an uns vorbeirauschte.

Szenenwechsel dann beim Überqueren der Magellan-Strasse (1520 von Ferdinand Magellan entdeckte Seestrasse – eigentlich wollte er ja nach Indonesien…) und der Ankunft in Tierra del Fuego, Feureland. Nach den Wäldern tauchten die Schneeberge, Bergseen und die zum Landschaftsbild gehörenden Fischer auf, noch ein paar Kurven und schon waren wir in Ushuaia angelangt!

Ushuaia, eine Stadt mit 61000 Einwohnern am Fin del Mundo, mit uns bisher unbekanntem Licht und Sonnenuntergängen um 23 Uhr. Wären da nicht die Antarktis-Expeditions-Schiffe (es sind 1000 Km bis zur Antarktis und 3000 Km bis zum Südpol) hätten wir allerdings nicht wirklich geglaubt, am Ende der Welt angelangt zu sein. Es gibt auch hier alles, vom Informatik-Geschäft bis zum Autohändler.

Eines der Highlights unseres Aufenthalts hier war sicher die Wanderung durch den «Parque Nacional Tierra del Fuego», welcher sich von der chilenischen Grenze bis an den Beagle-Kanal erstreckt.

Puerto Madryn, Punta Tombo, Peninsula Valdes

Les environs de Puerto Madryn, situés à 19 heures de bus de Buenos Aires sur la côte Atlantique, est le point de chute d’un nombre incroyable d’animaux sauvages qui émigrent notamment vers la Punta Tombo et la Peninsula Valdes.

La Punta Tombo est le refuge de plus d’un demi-million de pingouins Magellan lors de leur période de ponte. Imaginez vous marcher au milieu de ce demi-million, les uns nourrissant leurs petits, les autres allant pêcher leur repas ou prenant un bain de soleil !

La Peninsula Valdes est un parc protégé abritant phoques, éléphants de mer, dauphins Toninas (noir et blanc) pingouins et…baleines ! Non seulement nous avons pu admirer toute cette faune mais, à bord d’un bateau, une baleine particulièrement de bonne humeur nous a fait sept sauts juste devant les yeux… j’en ai encore des frissons !!!

Die Umgebung von Puerto Madryn, 19 Bus-Stunden südlich von Buenos Aires an der Atlantik-Küste, ist Paradies für Tier-Liebhaber.

Die Punta Tombo beherbergt die grösste Pinguin-Kolonie ausserhalb der Antarktis. Während der Brütezeit tummeln sich hier über eine halbe Million Magellan-Pinguine! Im Park befindest du dich inmitten dieses ganzen Spektakels und kannst die Tiere aus nächster Nähe beim Füttern der Babys, beim “Sünnelen” oder Fischen beobachten.

Ein weiterer Ausflug führte uns auf die Peninsula Valdes, das Zuhause von unzähligen Seehunden, Seelöwen, Seeelefanten, Toninas (schwarz-weisse Delfine), Pinguinen und… Wahlen. Wir hatten nicht nur das Glück, all diese Tiere auch wirklich aus nächster Nähe beobachten zu können sondern bekamen von einem speziell gut gelaunten Wahl auch noch eine Vorführung in Sachen Sprungtechnik. Sieben Sprünge rund um unser Boot – das gibt Hühnerhaut!!!

mardi 15 décembre 2009

Sydney – Auckland – Buenos Aires


Nach einem zweistündigen Aufenthalt in Auckland brachen wir auf, den Pazifik zu überqueren und um nach einem elfstündigen Flug zwei Stunden vor dem Abflug wieder zu landen. Der erhoffte Verjüngungseffekt blieb jedoch aus. 10 Stunden Zeitverschiebung in einem halben Tag reisen setzen einem ganz schön zu…

Die Müdigkeit tat dem Buenos Aires-Erlebnis aber keinen Abbruch. Wenn am Morgen beim Frühstück schon die Tango-Musik durch das Bistro dröhnt und die Leute durch die Strassen Tanzen, ist Müdigkeit auch definitiv fehl am Platz. Am Wochenendmarkt rund um die Plaza Dorrego , im farbenfrohen Stadteil “La Boca”, beim Überqueren der Avenida 9 de Julio – la avenida más ancha del mundo (die breiteste Allee der Welt) und beim Busticket kaufen im Retiro, dem dreistöckigen Busbahnhof von Buenos Aires kannst du nicht anders, als plötzlich trotz Müdigkeit wieder hellwach zu sein! Bienvenidos en Argentina!

Après un arrêt de deux heures à Aukland, nous sommes partis pour traverser le Pacifique et atterrir après onze heures de vol, deux heures avant l’heure de notre décollage. L’effet de rajeunissement souhaité ne s’est malheureusement pas manifesté. Dix heures de décalage horaire en une demi-journée ont été difficilement digérables…

La fatigue n’a cependant nullement entamé l’expérience Buenos Aires. Quand le matin au petit déjeuner, il y a déjà du tango dans les haut-parleurs et que les gens dansent dans la rue, la fatigue n’a vraiment plus lieu d’être. Au marché du dimanche sur la place Dorrego, dans le quartier coloré de la Boca, en traversant l’Avenida 9 de Julio – « la Avenida mas ancha del mundo » (l’avenue la plus large au monde) et en achetant des billets de bus à la «Estacion de Omnibus de Buenos Aires » tu ne peux pas faire autrement qu’être pleinement réveillé ! Bienvenidos en Argentina !

Where am I - Australie

Si un jour tu devais être pris en otage et être lâché quelque part sur cette planète, la check-list suivante te permettra de savoir si tu es en Australie :

• Tout le monde te parle (que ce soit quand tu es en train de prendre ta douche ou plus naturellement au barbecue)
• Apres 5 min tu sais tout sur une personne, après 10min tu n’en sais pas plus
• Ce ne sont pas les serpents ou les Red Back que tu crains le plus mais les mouches !
• Tu vois des milliers de plages et presque à chaque fois tu as l’impression que c’est la plus belle et la plus déserte que tu ais jamais vu de ta vie
• Il y a autant de golfs que de panneaux de restriction d’eau pour cause de pénurie
• Dans les lieux les plus perdus tout le monde te dis bonjour au volant
• Tu peux acheter des « breakfast pack » contenant trois saucisses et un steak
• Tout est interdit et les panneaux sont assez clairement formulés
• Chaque champ a un moulin permettant de puiser de l’eau
• Tout le monde ajoute un petit « Cheers mate » à la fin de ses phrases
• Il y a presque autant d’ours polaires que de piétons
• Même sur la plage il faut faire attention à ne pas te faire écraser par les voitures
• Le prix de l'essence varie de 1,09 à 1,72 dollars (et nous n’avons même pas été jusqu’au «red centre»)
• Les australiens récupèrent l’eau de pluie sur leur toit et la boive
• Les moyens de communication modernes ne sont pas de ce monde. Essaye de trouver une prise ou de te faire appeler et tu comprendras
• C’est le pays idéal pour le camping: des douches, des toilettes et des barbecues sont à ta disposition partout et sont nickels
• Les hobbies préférés des australiens sont le bowling et le cricket, ils sont tous les soirs et le week-end en uniforme sur le terrain
• Le vélo sur l autoroute c’est possible !
• Tous les australiens viennent faire les courses avec des sacs pour ne pas utiliser ceux des supermarchés

Solltest du eimal entführt und irgendwo auf diesem Erdball wieder freigelassen werden, kannst du anhand der nachfolgenden Checkliste feststellen, ob du in Australien bist:

• Jeder und jede spricht mit dir (egal ob du gerade unter der Dusche oder vor deinem Barbecue stehst)
• Nach fünf Minuten weisst du alless über deinen Gesprächspartner, nach zehn Minuten weisst du nicht unbedingt mehr
• Nicht die Schlangen und die “Red Back” (tödliche Spinne) machen dir das Leben schwer. Am meisten zu schaffen machen dir hier die Fliegen.
• Du siehst hier tausende Strände und fast jedes Mal hast du den Eindruck, dich gerade am Schönsten und am Menschenleersten zu befinden
• Es gibt in etwa gleich viele Schilder mit dem Hinweis auf Wasserknappheit wie Golfplätze
• In abgelegeneren Gegenden wird jedes entgegenkommende Fahrzeug gegrüsst
• Das in den Supermärkten angebotene “breakfast pack” besteht aus drei Würsten und einem Steak
• In Australien ist so ziemlich alles verboten und die Verbotsschilder sind meist recht eindeutig formliert
• Auf jedem Feld steht ein Windrad zur Wasserförderung
• Keine Aussage ohne ein “Cheers Mate” am Ende
• Es gibt in etwa gleich viele Eisbären wie Fussgänger
• Sogar am Strand musst du aufpassen, nicht von einem Pick-Up überfahren zu werden
• Die Benzinpreise variieren zwischen 1,09 und 1,72 Dollars (und dabei waren wir nicht einmal im Red Center)
• Regenwasser ist in Australien gleich Trinkwasser (das blaue Gold fliesst vom Dach direkt in entsprechende Reservoire)
• Moderne Kommunikationsmittel scheinen nicht von dieser Welt zu sein (einen Anruf zu empfangen oder eine Steckdose zu finden ist fast ein Ding der Unmöglichkeit)
• Australien ist definitiv ein Land zum Campen: Die zur Verfügung stehenden Duschen und Toiletten sind einfach top!
• Ein richtiger Australier schlüpft am Abend und am Wochenende in seine Uniform und begibt sich auf den nächsten Bowling- oder Cricket-Platz
• Velofahren auf der Autobahn – das geht hier!
• Einweg-Einkauftaschen sind verpönt – die Einkäufe gehören in die mitgebrachte Stoff-Tragtasche

Nourriture Australienne

Il va être difficile pour nous d’avoir un réel point de vue objectif sur la nourriture Australienne étant donné que nous avons essentiellement fait nous même nos repas. Nous allons cependant vous décrire ce que nous avons pu observer mais également les produits que nous avons pu cuisiner :

En Australie, la viande est la reine de chaque repas. L’immensité du continent permet l’élevage de milliers de bêtes que l’on retrouve bien appétissantes dans les étales des magasins : bœuf, agneau, porc…la difficulté est uniquement dans le choix ! Pour la cuisson, les australiens sont accros aux barbecues (et nous le sommes devenus !), qu’il vente ou qu’il pleuve, les barbecues publics, placés dans les villes ou en bord de mer à disposition, sont pris d’assaut.

Immédiatement après le barbecue viennent les fast-foods, à partir de 3000 habitants il y a toujours Mc do, HungryJacks (Burger King), Subway, Red Rooster,…

En ville, nous avons également senti que les différentes vagues d’immigration, ont chacune apportées leur spécialité et que la société multiculturelle est apparente partout au niveau culinaire : restaurant indonésiens, koréens, japonais, chinois, italiens…presque toute la planète y est représentée.

En ce qui concerne les boissons, bien sûr nous avons été déguster les vins de Margaret River, de la Barrossa Valley ou de la Hunter Valley, qui n’ont rien à envier aux vins européens, mais la bière semble tout de même être la boisson nationale.

Da wir in Australien meistens selber gekocht haben, ist es schwierig, ein Bild der australischen Essenskultur wiederzugeben. Nachfolgend eine kleine Beschreibung dessen, was wir gesehen und in unsere Pfanne bzw. auf unseren Grill gehaut haben :

In Australien ist das Fleisch der König. Die Fahrt durch das Land führt nicht selten an riesigen Viehzuchten vorbei. Entsprechend gross ist das Angebot an Rind, Lamm und Schwein auch im Supermarkt… Es bleibt eigentlich nur die Qual der Wahl! Für die Zubereitung schmeisst ein richtiger Australier seinen Grill an. Egal ob es regent oder stürmt, die öffentlichen Barbecue-Stellen in den Parks und an den Stränden sind immer gut besetzt.

Dicht gefolgt vom Barbecue kommt der Fast Food. Ab 3000 Einwohnern gibts McDo, HungryJacks (Burger King), Subway, Red Rooster, …

Weiter gilt es sicher den australischen Multikulturalismus zu erwähnen. In den Städten reihen sich indonesishe, koreanische, japanische, chinesische, italienische,… Restaurants aneinander. Fast die ganze Welt scheint hier zu sein.

Was die Getränke betrifft, hatten wir selbstverständlich die Gelegenheit, die verschiedenen Weine aus Regionen wie Margeret River, Barrossa Valley oder Hunter Valley zu testen. Obwohl, diese Weine den europäischen Tropfen in nichts nachzustehen scheinen, macht in Australien wohl doch eher das Bier das Rennen.

Hunter Valley, Port Stephens et les Blue Mountains

Um den daheimgebliebenen bösen Zungen zu zeigen, dass man auch in unserem hohen Alter gemütliches Zusammensein und Unternehmenslustigkeit noch voll und ganz unter einen Hut bringen kann, klapperten wir in unserem Vehikel auch noch die Sehenswürdigkeiten der Umgebung ab…

Im Hunter Valley kamen wir nach sechs Wochen Australien endlich in den Genuss einer Weindegustation, in den Blue Mountains versetzte uns die Natur ein weiteres Mal ins Staunen und in Port Stephens namen wir Abschied vom so lieb gewonnen Pazifik…

Pour montrer aux mauvaises langues restées à la maison que même à notre âge avancé il est toujours possible de marier soirées et excursions, nous avons parcouru les incontournables des alentours de Sydney…

Après 6 semaines en Australie, dans la «Hunter Valley» nous avons enfin eu droit à notre dégustation de vin dans le vignoble, dans les «Blue Mountains», la nature nous a encore une fois coupés le souffle et à Port Stephens, nous avons dit au revoir au grand Pacifique…

Sydney, Manly, Bondi

Nach der Verabschiedung meiner Eltern, hiess es am nächsten Morgen den nächsten Besuch in Empfang zu nehmen. Mit unserem neuen Dreiplätzer-Camper machten wir uns also auf zum Flughafen um RÖÖÖÖÖÖÖÖÖÖOTELI nach so langer Zeit wieder in die Arme zu schliessen!

Immer noch ohne Strassenkarte aber jetzt mit einem alten Australien-Kenner an Bord, brachen wir auf, Sydney und Umgebung zu erkunden. Einmal mehr provitierten wir von den Barbecue-Facilities, den Stränden und allem, was dieses Land für heitere Stunden so zur Verfügung stellt.

Mit Schiff, Camper und zu Fuss erkundigten wir Sydney, sicher eine der durch Menschenhand geschaffenen Perlen Australiens. Die Harbour Bridge, das Opera-House und die Sky-Line aus nächster Nähe zu bestaunen ist sicher etwas, was man so schnell nicht wieder vergisst…

Après avoir dit au revoir aux parents de Matthias, nous avons accueilli la visite suivante le lendemain matin. Avec notre campeur de trois places, nous sommes donc partis à l’aéroport pour resserrer dans nos bras RÖÖÖÖÖÖTELI après si longtemps !

Toujours sans carte mais maintenant avec un vieux connaisseur de l’Australie à bord, nous sommes partis découvrir Sydney et ses environs. Dans les alentours de Sydney, nous avons pu profiter une fois de plus des barbecues, des plages et de tout ce que ce pays met à disposition pour des soirées festives.

En bateau, en van et à pied, nous avons parcouru Sydney, certainement une des perles australiennes créée par des mains humaines. Pouvoir admirer l’ « Harbour Bridge », l’opéra et la « Sky-line » de Sydney est certainement quelque chose que l’on n’oublie pas de si tôt.

Lakes Entrance – Eden – Sydney

En partant de Melbourne, 400 kilomètres de paysages monotone à l’intérieur des terres nous attendaient avant la région des lacs de Gippsland. Arrivés là bas, nous avons découvert la plus grande étendue d’eau à l’intérieur des terres d’Australie, trois lacs interconnectés et séparés de l’océan par une dune connue sous le nom de « Ninety Mile Beach », magnifique !

En remontant la côte sud-est vers Sydney, des paysages vallonnés recouverts d’une forêt dense (et incroyablement assourdissante !) nous ont conduits successivement vers Eden puis Bulli pour des arrêts barbecue et nuit au bord de la mer. Il a fallu ensuite dire au revoir à notre van qui nous a vaillamment mené depuis Perth pour l’échanger contre un trois places !

Nach Melbourne warteten 400 Kilometern recht monotone Landschaften auf uns. Die See-Region “Gippsland” brachte dann die Kamera aber wieder gehörig ins Schwitzen. Die drei unter einander verbundenen und vom Meer durch den «Ninety Mile Beach» getrennten Seen, bilden die grösste Wasserfläche auf dem Australischen Kontinenten. Traumhaft!

Unser Weg entlang der Südostküste führte durch hügelige Waldlandschaften nach Eden und Bulli, wo wir einmal mehr von den Übernachtungsmöglichkeiten am Strand profitierten. In Sydney hiess es dann, den uns seit Perth true beiseite gestandenen Camper zu verabschieden und einen neuen Dreiplätzer in Empfang zu nehmen.

samedi 28 novembre 2009

Melbourne

Bevor die Europäer kamen lebten 100’000 Aborigines in Victoria (die Aborigines sind übrigens vor 40’000 Jahren via Südostasien nach Australien gelangt). Im Jahr 1860, 25 Jahre nachdem John Batman in die Port Phillip Bay, die Bucht von Melbourne segelte, lebten noch 2’000 von ihnen.

Heute ist das attraktive und 3,7 Millionen Einwohner zählende Melbourne ein Mix von Gebäuden und Boulevards aus Kolonialzeiten und hypermoderner Architektur. Wie in Adelaide haben auch hier die verschiedenen Immigrationswellen das Stadtbild mitgeprägt. Wenn auch Chinatown sicher das auffälligste dieser Elemente ist, so sind auch italienische Restaurants und Kaffees sowie griechische und vietnamesiche Schriftzeichen nicht mehr wegzudenken.

Nach vier Wochen in der Pampa war die Stadt für uns auch so etwas wie die Rückkehr in die Service-Welt. Am Morgen mit den Pendlern im vollgestopften Zug ins Zentrum fahren und in den Geschäften von der Skiausrüstung (auch Skipisten gibts hier!) bis zum Weihnachts-Mann-Tenu alles angeboten zu bekommen, ist in Australien sicher eher die Ausnahme als de Regel…

Avant l’arrivée des européens, 100 000 aborigènes habitaient la région de Victoria (les aborigènes ont émigré d’Asie en Australie il y a 40 000 ans). En 1860, 25 ans après que John Bartman ait débarqué dans la Port Phillip Bay, la baie de Melbourne, seulement 2000 d’entre eux étaient en vie.

Aujourd’hui, la pétillante ville de Melbourne compte 3,7 millions d’habitants et est un mixe de constructions et boulevards coloniaux et d’architecture hyper moderne. Comme à Adelaïde, ici aussi, les différentes vagues d’immigration ont marqué l’apparence de la ville. Bien que Chinatown soit l’élément le plus visible, les restaurants et cafés italiens ainsi que les insignes grecs et vietnamiens en témoignent.

Après quatre semaines dans la « pampa », la ville était pour nous également une sorte de retour dans le monde du tertiaire. Prendre le train sur-rempli pour arriver en centre ville et pouvoir acheter tout : de l’équipement de ski (et oui il y a des pistes de ski en Australie) jusqu’à la tenue de père noël n’est certainement pas possible partout en Australie…

Robe – Port MacDonnell – Port Fairy – Apollo Bay – Laverton

Aus gelb-braun mach grün, aus endlos mach überschaubar und schon bist du von South Australia nach Victoria gelangt. Schon fast ländergrenzen-würdig diese Kontraste!

Die im Titel beschriebene Route ist so etwas wie die “Great Ocean Road Plus”. Offiziell beginnt diese Strecke “where nature's drama unfolds at every turn” erst nach Port Fairy, die weiter westlich gesichteten Landschaften fügen sich für uns jedoch mit der offiziellen Route zu einem Gesamtbild bestehend aus herrlichen Küstenabschnitten und einer unglaublichen Tierwelt zusammen.

Nach einem regnerischen Tag in einem gemütlichen Kaffee Robes düsten wir via die Kraterseen (ja, auch aktive Vulkane hat’s hier gegeben) von Mt Gambier zum Fischerdorf von Port MacDonnell weiter. Der Coastal Scenic Drive dort war so etwas wie das “amuse-bouche” des uns in den nächsten Tagen servierten Schlemmer-Menüs aus Klippen, wildem Ozean, australischen Tieren, Wäldern, Sonne und Wind.

In Cape Bridgewater gabs die ersten Seals zu sehen, etwas weiter östlich die wohl unglaublichsten Klippen und “Monoliten” dieser Welt, im Great Otway Nationalpark die ersten Koalas (uaaahh, sind die süüüüsssss und faul!), vor Apollo Bay eine schon fast schweizwürdige Passstrasse (ganz schön anstrengend nach so viel gerade aus), …

Alles in allem sicher wieder eine der eindrücklicheren Strecken dieser Welt und auch ein gutes Stück Rechtfertigung für das etwas zu selbstherrlich klingende “VICTORIA – THE PLACE TO BE” auf den Autokennzeichen dieses Staates.

Change le marron en vert, les paysages infinis en paysages à taille humaine et tu es arrivé de South Autralia à Victoria. Des contrastes presque dignes d’une frontière nationale !

La route décrite dans le titre est une « Great Ocean Road Plus ». Officiellement cette route "where nature's drama unfolds at every turn" commence uniquement après Port Fairy. Les paysages vus plus à l’ouest se marient pour nous cependant parfaitement avec la route officielle pour former un ensemble de côte magnifique et de faune incroyable.

Après une journée pluvieuse dans un café de Robe, nous avons filé en passant par les lacs de cratères (oui aussi ici il existait des volcans actifs) de Mont Gambier, au village de pêcheur de Port MacDonnell. La « Coastal Scenic Drive » là bas, était une sorte d’amuse bouche du menu de gourmet qui nous attendait par la suite, composé de falaises, océan déchainé, animaux australiens, forêts, soleil et vent.

A Cape Bridgewater, les premiers phoques - un peu plus à l’est, les falaises et monolithes probablement les plus incroyables de ce monde - au « Great Otway National Park », les premiers koalas (ouaaaaaaa c’qui sont mignon et paresseux !) - avant Apollo Bay, une traversée de cols presque digne de la Suisse (assez fatiguant, nous nous étions habitués aux lignes droite !),…

Somme toute certainement encore une des routes les plus impressionnantes de ce monde et sans doute aussi une route permettant de justifier l’un peu prétentieux « VICTORIA THE PLACE TO BE » inscrit sur les plaques d’immatriculation.

Meningie - Coorong National Park

A bord d’un petit ferry 4 places, nous avons quitté la Fleurieu Peninsula en traversant la Murray River, dont les 2700 kilomètres de long en font la plus grande d’Australie. Bien que ce soit le troisième plus long fleuve navigable de la planète, on s’aperçoit vite que ce n’est pas celui qui a le plus grand débit et l’on comprend aussi pourquoi l’Australie est le continent le plus sec au monde.

Nous avons ensuite rejoint le « Coorong National Park », composé de lagon et d’étendues d’eau douce se mélangeant à de l’eau de mer sur plus de 145km de long et 4km de large au maximum. Paradis des oiseaux (plus de 200 espèces), notre route traversant le Coorang du Nord au Sud jusqu’à Meningie, a croisé celle de centaines de pélicans, canards et autres oiseaux. L’Australie a une faune et une flore extrêmement diversifiées mais aussi spécifiques à ce continent. Alors qu’il y a encore 15000 ans il était possible de passer à pied de la pointe sud de l’Afrique à l’Asie et en Amérique, l’Australie a été isolé (à minima depuis 45 millions d’années) de tous les échanges que cette proximité a engendrées que ce soit sur les plantes ou les animaux, on peut donc y observer des choses insolites.

Auf einer Fähre mit Platz für vier Autos haben wir die Fleurieu Peninsula verlassen und den Murray River überquert. Der Murray River ist sicher kein Rinnsal (mit seinen 2700 Kilometern ist er immerhin der drittlängste Fluss auf Erden) aber sicher auch nicht einer der grössten Ströme dieser Welt. Das ist eigentlich nicht weiter erstaunlich – Australien ist der trockenste Kontinent auf unserem Planeten!

Die Reise führte uns dann weiter in die 145 Kilometer lange Lagunen-Landschaft des «Coorong National Park». Auf unserer Fahrt durch dieses Vogelparadies (200 Arten) konnten wir unzählige Pelikane, Enten und uns unbekannte Flugobjekte beobachten. Vielfältigkeit und Aussergewöhnlichkeit der Tier- und Pflanzenwelt in Australien gehen übrigens auf eine weitere historische Besonderheit dieses Kontinenten zurück: Während man vor 15'000 Jahren noch zu Fuss vom Süden Afrikas nach Südamerika spazieren konnte (via Europa und Asien), ist Australien seit 45 Millionen Jahren von der Aussenwelt abgeschnitten.

vendredi 27 novembre 2009

Clare Valley – Barossa Valley - Adelaïde – Fleurieu Peninsula

Après avoir longé les « Flinders Ranges » nous avons pris une route intérieure conduisant avant Adelaïde dans la Clare Valley, région connue pour ses villes hérités de l’époque de folie minières. Au milieu du XIXème siècle, des villes ont été créés dans toute la région par les travailleurs venant extraire l’or, le cuivre et autres métaux. Aujourd’hui se sont davantage ses vignobles qui avec la Barossa Valley, y attirent les touristes. Mis a part le vin qui n est effectivement pas mauvais, nous avons également aimé le paysages de collines couvertes de vignes, unique pour l’Australie que nous avons découvert jusqu’ici.

La vivante ville d’Adelaïde, nous a par la suite fait découvrir le visage multiculturel de ce pays, en effet un australien sur quatre n’est pas né sur le continent, et c’est la première fois ici surtout sur le « Central Market » que nous avons pu le voir.

Les grandes villes n’étant pas idéales pour camper dans notre van, nous avons rejoint la Fleurieu Peninsula et ses paysages vallonnés bordant le Golf Saint Vincent, au coucher du soleil.

Nach der Fahrt entlang der «Flinders Ranges» führte unsere Route ins Clare Valley mit seinen aus den «Minen-Zeiten» (XIXtes Jahrhundert) stammenden Städten. Heute ist die an das Barossa Valley angrenzende Region hauptsächlich auch bekannt für seinen Wein. Neben dem effektiv nicht schlechten Wein begeisterte uns hier vor allem auch die in Australien bisher noch nicht angetroffene Hügellandschaft.

In Adelaide entdeckten wir dann gleich noch einmal ein neues Gesicht von Australien. Einer von vier Australiern wurde nicht auf diesem Kontinenten geboren. In Adelaide, insbesondere auf dessen Markt, wurde dieser Multikulturalismus zum ersten Mal richtig sicht- und spürbar.

Da grosse Städte zum Campen nicht eben idal sind, haben wir Adelaide am Abend in Richtung Fleurie Peninsula verlassen. Die weiter oben erwähnte Hügellandschaft, hier angereichert mit der Sicht auf das Meer, brachte unseren Fotoapparat auch hier ins Schwitzen...

Eyre Peninsula

Als wir nach unserem dreitägigen Trip durch die australische Trockenheit plötzlich das Meer vor uns liegen sahen, fühlten wir uns sicher mindestens so glücklich wie Zachary Hicks und Käpten James Cook, als sie am 19. April 1770 plötzlich auf Australien stiessen. Nichts wie rein ins kühle Nass!

Die nächsten drei Tage führten über die Eyre Peninsula, das « Barossa Valley of Seafood ». Mit der Coffin Bay steuerten wir denn auch das Austern-Mekka Australiens an, zogen es aber nach ein paar Pasta-Tagen vor, wieder einmal ein paar Würste und Steaks auf den Grill zu schmeissen…

Besonders waren auch hier, neben den nach drei Wochen endlich auch aus der Nähe beobachteten Emus (einem Strauss gleichender Laufvogel), die menschenleeren Sandstrände, die fast unendlichen und der ganzen Halbinsel ihre ockerne Farbe verleihenden Getrideanbaugebiete, die um die Mittagszeit unter den Büschen dösenden Kängurus und… die Distanzen.

Quand après notre voyage de trois jours à travers la sécheresse australienne, nous avons aperçu la mer au loin, nous nous sommes sentis au moins aussi heureux que Zachary Hicks et Capitaine James Cook quand ils ont aperçu le 19 Avril 1770 l’Australie. Et hop un p’tit saut dans l’eau rafraichissante !

Les trois jours suivants nous ont conduits à travers la Eyre Peninsula, le « Barossa Valley of Seafood ». Avec Coffin Bay, nous avons pris cap sur la Mecque des huitres australiennes, nous avons cependant après quelques jours de pattes, préféré lancer quelques saucisses et steack sur le barbecue…

Particulièrement impressionnants était ici aussi, mis à part les émeus (oiseaux ressemblant à une autruche) que nous avons finalement pu observer de près, les plages désertes, les champs de blé quasiment sans fin et prêtant leur couleur ocre à toute la péninsule, les kangourous qui font la sieste sous les buissons pour éviter la chaleur de midi et… encore les distances !

Norseman - Nullarbor

Um das Nullarbor-Erlebnis zu beschreiben, würde es sich eigentlich anbieten, einfach nichts zu schreiben. Nichts, denn da draussen gibt es einfach wirklich NICHTS! 1200 Kilometer NICHTS!!! Nach acht Stunden Fahrt, sprich ca. 500 Kilometern, hast du einmal getankt, zweimal gepinkelt, einmal gepicknickt, keines der 700’000 in Australien lebenden Kamele und keinen Dingo (wilder Hund) gesehen. NICHTS! Und nach 500 Kilometern bist du noch nicht einmal in der Hälfte!

Das Erlebnis war aber wieder einmal alles andere als nichts. Die teilweise fast wüstenhaften Landschaften hatten etwas unglaublich packendes, den Truckern zuzuwinken und sich einmal im Leben auch ein wenig als Trucker fühlen hatte irgendwie etwas beflügelndes und sich bei 47°C aus Angst vor einem leeren Tank den Angstschweiss auf der Stirne treiben ist auch etwas, was einem nicht alle Tage gelingt …

Australias Great Road Journey war und ist bisher sicher Mondereises Greates Road Journey!!

Pour décrire l’expérience Nullarbor cela se prêterait plutôt bien de ne rien écrire. Rien parce que là dehors il n’y avait vraiment RIEN ! 1200 kilomètres de RIEN ! Après 8 heures de conduite ou 500 kilomètres, tu as fait une fois le plein, allé deux fois aux toilettes, une fois pique-niqué, vu aucun des 700 000 chameaux vivant en Australie et aucun dingo (chien sauvage) non plus. RIEN ! Et après ces 500 kilomètres tu n’as même pas fait la moitié.

L’expérience était cependant une fois de plus tout sauf rien. Les paysages parfois presque désertiques avaient quelque chose d’incroyablement attrayant - faire des signes aux « truckers » qui passent et se sentir une fois dans sa vie un peu « trucker » nous a presque donné des ailes – arriver par 47°C à transpirer par peur d’une panne sèche est quelque chose que l’on n’arrive pas à faire tous les jours non plus…

«Australia’s Great Road Journey» était et est jusqu’à présent certainement « Mondereise’s Greates Road Journey ».

Esperance - Norseman

Au réveil, « Cap Le Grand National Park » nous a accueillis avec ses plages d’eau turquoise et son magnifique « Archipelago of the Recherche » à l’horizon. Cela se sentait qu’il n’y avait plus rien entre l’Antarctique et nous au vu de la température de l’eau ! Cent kilomètres plus loin, en nous enfonçant au nord dans les terres, nous aurions tout donné pour pouvoir y plonger !

Norseman est la dernière étape avant de nous jeter sur les 1200 km nous séparant d’Adelaïde, sur la presque déserte « Eyre Highway » (John Eyre l’ayant traversé pour la 1ere fois en 1841 !). Les conseils des locaux, que nous avons suivis, nous ont donné l’impression de partir en expédition : regonflage des pneus, achat d’huile de moteur, plein de nos bouteilles et bidons d’eau potable (30 litres !), vérification des vivres, étude des cartes et repérage des points stratégiques (ravitaillement en eau, station essence, camp pour la nuit)… après une demi-journée nous étions prêts pour l’aventure !

Kurz nach dem Erwachen wartete schon der «Cap Le Grand National Park» mit seinen unzähligen Inseln des “Archipelago of the Recherche” auf uns. Beim Ertasten der Wassertemperatur wurde uns schnell klar, dass es zwischen hier und der Antarktis nur noch Wasser gibt. Auf einen Sprung ins kühle Nass haben wir deshalb verzichtet. Ein paar Kilometer nördlich, beim Vorstossen ins Landesinnere, sollten wir diesen Entscheid schwitzend bereuen…

In Norsemann hiess es, sich auf “Austalias great road journey” vorzubereiten. Auf uns wartete der über 1200 Kilometer durch eine mehr oder weniger menschenleere Gegend führende Eyre Highway (nach John Eyre benannt, der sich im Jahr 1841 zum ersten Mal auf diesen Wag machte). 2009 ist aber bekanntlich nicht 1841. Den Tips in den zahlreichen Informationsbroschüren folgend, gilt es eine solche Reise heutzutage ähnlich einer Antarktis-Expedition vorzubereiten. Wir machten uns also an die Arbeit: Reifendruck prüfen, Wasserbehälter füllen (30 Liter!), Nahrungsmittel einkaufen, Karten mit den strategisch wichtigen Punkten (Wasserstellen, Tankstellen, Campingplätze, …) einprägen… Nach einem halben Tag waren wir bereit für das Abenteuer!

Albany - Esperance

Nous sommes repartis à nouveau à travers les champs de céréales, en pleine « Wheat Belt » Australienne (mais que peuvent-ils bien faire de tout ce blé ?!!), le long des magnifiques montagnes du « Stirling Range National Park » avant de rejoindre Esperance après quelques heures de route.

Dès notre arrivée nous avons parcouru la « Coastal Scenic Drive » le long de plusieurs kilomètres de sable fin et de mer à l’eau transparente, effectivement super « scenic ». Malheureusement Esperance n’était pas aussi tolérante que d’autres villes envers les campeurs des plages que nous sommes … nous avons donc cherché une place pour camper dans le « bush » et avons trouvé à la tombée de la nuit un coin de rêve au bord d’un lac entouré de fleurs magnifiques.

Nach zwei relativ flachen Wochen in Westaustralien, kamen die Gipfel der Stirling Range als Abwechslung mehr als gelegen. Unsere Fahrt führte dann durch den “Wheat Belt”, ein 150’000 km2 grosses und dem Weizenanbau gewidmetes Gebiet , nach Esperance.

In Esperance sind wir in gewohnter Manier dem “Coastal Scenic Drive” gefolgt. 15 Kilometer lange Sandstrände und rote Klippen – wirklich sehr “scenic”! Da Esperance nicht so gut auf “wilde” Strand-Camper wie uns zu sprechen ist, hat sich die Suche nach einem stillen Übernachtungs-Plätzchen für einmal etwas komplizierter gestaltet. Wir wurden aber selbstverständlich auch hier fündig und waren mit unserem “Bush-Platz” neben einem kleinen See und umgeben von einer herrlichen Blumenlandschaft, wie gewohnt mehr als zufrieden!

Walpole - Denmark - Albany

Vom Valley of the Giants mit den vorerst letzten grossen Bäumen, führte der Weg über Denmark an die Küste zu den Elephant Rocks. Dies sind riesige, im kristallklaren Meer liegende, rote und von Wind, Wasser und Sand geformte Felsblöcke. Ein weiteres Highlight der 25800 Kilometer langen und 7000 Sandstrände zählenden Australien-Küste.

Nachdem wir unseren Van am Nachmittag auf einer der zahlreichen unasphaltierten Strassen ein wenig überstrapaziert hatten, entschieden wir, ihm und uns in Albany und nach nunmehr 3900 Kilometern auf dem australischen Kontinenten, eine zweitägige Verschnaufpause zu gönnen.

En partant de la “Valley of the Giants”nous avons dit au revoir aux grands arbres de la région « Western Autralia », notre trajet nous a ensuite menés, via Denmark, sur la côte des « Elephant Rocks ». Ce sont des énormes rochers rouges formés, au milieu de l’eau cristalline, par le vent, l’eau et le sable - un autre « hightlight » des 25800 kilomètres de côte australienne et de ses 7000 plages de sable.

Après avoir surexploité notre van sur une des nombreuses routes non asphaltées, nous nous sommes décidés de lui, et de nous accorder, après 3900 km sur le continent australien, une petite pause de deux jours à Albany.

lundi 16 novembre 2009

Pemberton - Walpole

Morgen, 5h30 in Pemberton: Der Himmel ist blau, es ist windstill. Ideale Konditionen, um vielleicht doch noch auf eine Feuer-Beobachtungs-Platform vorzustossen und einen Teil des am Vortag verlorenen Stolzes wieder zu gewinnen :-) Nach einem nahrhaften Cornflakes-Frühstück und angefeuert von einer ganzen Schaar von Papageien, war die Erklimmung denn auch fast ein Kinderspiel! Beim Geniessen der Aussicht von dort oben, ganz alleine über dem ganzen Wald, ging auch die Angst vor dem Abstieg fast vergessen.

Die Fahrt führte dann weiter durch die Wälder des Shannon National Park mit noch grösseren Bäumen und in den Walpole-Nornalup National Park mit seinen Tingle Trees. Die Besonderheit dieser Bäume besteht darin, dass ein Grossteil der älteren Exemplare in seiner rund 350-jährigen Geschichte mindestens ein Feuer überstanden hat. Die Stämme sind komplett ausgebrannt, die Bäume leben aber weiter!

Neben den Bäumen verblüffte auch die Tierwelt immer wieder von neuem: Von den an Profisportler erinnernden Kühen über Schlangen, die länger sind als unser Van breit, bis hin zu ein Meter grossen Baby-Kängurus, denen es in Mamis Bauchtasche immer noch am besten gefällt…

Matin, 5h30 à Pemberton: le ciel est bleu, il n’y a pas de vent. Des conditions idéales pour tout de même accéder à une plateforme d’observation d’incendie et de retrouver au moins une partie de la fierté perdue la veille. Après un petit déjeuner corn flakes nourrissant et encouragé par une horde de perroquets, la montée était presque un jeu d’enfant. En admirant la vue, tout seul, au dessus des arbres, même la peur de redescendre à failli être oubliée.

Notre route a ensuite repris à travers des arbres encore et toujours plus grands et impressionnants à travers le « Shannon National Park », puis le « Walpole-Nornalup National Park » et ses « Tingle Trees ». La particularité de ses arbres consiste dans le fait que la majorité des anciens a vécu dans son histoire, vieille parfois de 350 ans, au moins un incendie. Les troncs sont complètement vides mais les arbres continuent à vivre !

Mis à part les arbres, les animaux méritent également tous les superlatifs : entre le serpent presque plus large que notre van, les vaches gonflées comme des sportifs de haut niveau et les mamans kangourou portant des « bébés » de plus d’un mètre encore dans leur poche !

Hamelin-Bay - Pemberton

Die Welt ist klein in Australien – auch wenn wir (das sind immer noch die Blogger und meine Eltern) jeden Tag getrennt losfahren, so treffen wir uns doch immer spätestens zur Kaffee-Pause wieder…

Nachdem uns Alpen-Menschen am Morgen die etwas gar mickrigen Beedelup-Falls fast etwas leid taten, war es am Nachmittag Mutter Natur, die sich ein Lächeln verkneifen musste: Die Besteigung des Bicentennal Trees (für Kinder verboten), musste von uns (aufgrund miserabler klimatischer Bedingungen) bereits auf 25 Metern abgebrochen werden und auch beim Fotografieren dieses 80 Meter Karri-Baumes wurde uns fast schwindlig!

Auch wenn dieser, als Feuer-Beobachtungs-Platform dienende Baum sicher seinesgleichen sucht, kamen wir bei der Besichtigung des Warren Nationalparks kaum mehr aus dem Staunen. Einmal mehr fehlen zum Beschreiben die Worte und leider sprechen in diesem Fall auch die Bilder nur sehr beschränkt für sich…

Le monde est petit en Australie – même si nous (nous se sont toujours les bloggeurs et les parents de Matthias) partons tous les matins individuellement nous nous retrouvons au plus tard pour la pause café.

Après qu’en tant qu’homme des Alpes, j’ai eu presque un peu pitié avec les chutes de Beedelup, c’est mère nature qui a du retenir un sourire l’après-midi : l’ascension de l’arbre Karri bicentenaire de 80 mètres (interdit aux enfants) à du être abandonné (du aux conditions atmosphériques misérables) à hauteur de 25 mètres - déjà en le photographiant, nous avions le vertige !

Bien que cet arbre d’observation d’incendie n’ait pas son pareil, nous ne nous sommes presque pas remis de la grandeur et la beauté du « Warren National Park ». Une fois de plus il nous manque les mots pour le décrire et, malheureusement pour vous dans ce cas, même les images ne parlent que de manière très limitée…

Busselton - Margaret River - Hamelin Bay

Der Weg von Busselton über Margaret River und das Cape Leeuwin Lighthouse zur Hamelin Bay führte, wie könnte es anders sein, durch zwei weitere Nationalparks. Wir geben uns die grösste Mühe, sämtliche 500 Parks werden wir in unseren 6 Wochen hier aber nicht bestaunen können…

Die Highlights des Tages:

- Der Cape Naturaliste Nationalpark mit seinem Lighthouse und den unzähligen, für einmal hyperaktiven und springenden Walen
- Der Leeuwin Naturaliste Nationalpark mit seinen Karri-Bäumen (dazu gibts in den nächstn Tagen noch mehr)
- Margaret River und dessen Weinanbaugebiete und –keller. Wir hätten gerne degustiert und gekauft, sind aber an kulturellen Unterschieden gescheitert…
- Cape Leeuwin Lighthouse : Der Südwestlichste Punkt Australiens
- Hamelin Bay : Ein weiteres Paradies für Strandliebhaber

Le chemin de Busselton, passant par Margaret River et par le phare de Cape Leewin à la Hamelin Bay, nous a conduits, comme vous devez vous y attendre, à travers deux autres parcs nationaux. Nous nous appliquons vraiment mais dans les 6 semaines que nous passons ici, nous n’allons malheureusement pas être capables de visiter les 500 parcs nationaux de l’Australie.

Les « highlights de la journée » :

- Le « Cape Naturaliste National Park » avec son phare et les innombrables baleines hyperactives et bondissantes
- Le « Leeuwin Naturaliste National Park » avec ses « Karri-trees » (on vous en reparlera dans les prochains jours)
- Margaret River avec ses vignes et ses caves. Nous aurions bien voulu déguster et acheter mais nous n’avons une fois de plus pas pu surmonter les différences culturelles…
- Phare de Cape Leeuwin : la pointe la plus sud-ouest de l’Australie
- Hamelin Bay : encore un paradis pour les amateurs de plage

Mandurah - Bunbury - Busselton

Da wir uns nur mässig für die Venedig-Imitation in Mandurah begeistern konnten, fuhren wir nach dem Frühstück weiter in den Süden, nach Bunbury. Obwohl eine der grösseren Städte an der Westküste, hatten wir auch hier den Eindruck, nach dem Scenic-Drive (die australische Art der Stadt-Besichtigung) die Hauptatraktivitäten gesehen zu haben.

Nach dem schon fast traditionellen Pick Nick in Gesellschaft von Delfinen brachen wir auf Richtung Ludlow Tuart Forest National Park – zu den grossen Bäumen im Süden! Nach viel Busch- und Getreide eine willkommene Abwechslung und genau richtig, um die Vorfreude auf die kommenden Parks zu wecken!

Kurz vor Ladenschluss (in Westaustralien um 17h30) standen wir im IGA (Independent Grocers of Australia) vor den Fleischregalen, die der Hauptsehenswürdigkeit des Ortes, dem 1,4 Kilometer langen und damit grössten Anlegesteg Australiens, in nichts nachstehen!

Den Grill eingeheizt, das Fleisch gebrätelt und fertig war ein weiterer perfekter Australien-Tag!

Puisque nous ne pouvions pas vraiment nous enthousiasmer pour l’imitation de Venise à Mandurah, nous avons continué vers le sud direction Bunbury. Bien qu’une des plus grandes villes de la côte ouest, ici aussi après le « Scenic Drive » (la solution australienne pour visiter une ville), nous avions l’impression d’avoir vu tous les attraits de cette ville.

Après le presque traditionnel pique-nique en compagnie de dauphins, nous avons continué en direction du « Ludlow Tuart National Park » – vers les grands arbres du sud ! Après beaucoup de « bush » et de céréales, un changement de décor bienvenu et juste parfait pour éveiller la joie pour les parcs nationaux à venir.

Juste avant la fermeture des magasins (en australie de l’ouest, à 17h30) nous nous sommes trouvés chez IGA (Independant Grocers of Australia) devant les étales de viande qui n’ont rien à envier à la jetée de la ville qui avec ses 1,4 kilomètre est la plus grande d’Australie.

Chauffer le grill, griller la viande complétait une journée australienne parfaite.

Cervantes - Perth - Fremantle - Mandurah

A Perth nous attendait « Wicked » et notre van. Nous avons après deux heures de route fait la rencontre de Brenda, notre voiture/restaurant/hôtel pour le prochain mois. Rouge, magnifique, avec noté derrière « FAST AND FURIOUS, HE WAS FAST, SHE WAS FURIOUS » et « ROAD RAGE » sur le côté, on était prêt pour la route ! Perth plus ensoleillé et après une semaine d’acclimatation culturelle nous a semblé finalement nettement plus sympathique.

Après quelques courses, un peu d’arrangement de notre van et de nettoyage, nous étions repartis pour les visites. A quelques kilomètres de Perth, un petit saut dans la jolie ville de Fremantle, créée il y a des milliers d’années par les aborigènes, nous a plongé dans l’histoire australienne. C’est en 1829 que les européens s’y sont implantés à l’arrivée du bateau « Challenger », les constructions de cette époque comptent parmi les plus anciennes de la région « Western Australia » .

Pour le baptême et le test des fonctionnalités restaurant/hôtel, nous avons mis cap vers Mandurah au bord de l’Océan Indien. A la surprise du Mondereisiens le plus âgé, le véhicule s’est avéré extrêmement confortable !

Am Morgen Aufbruch in Richtung Perth, wo unser «Wicked»-Camper, Brenda, auf uns wartete. Knallrot, mit für die kommenden Strecken recht passenden Aufschriften «FAST AND FURIOUS, HE WAS FAST, SHE WAS FURIOUS» und «ROAD RAGE», haben wir uns sofort mit unserem Auto-Hotel-Restaurant für den nächsten Monat angefreundet. Im neuen Gefährt, mit viel Sonne und nach zwei Wochen «anklimatisieren», hat uns auch Perth sofort viel besser gefallen.

Nach ein wenig einkaufen, einrichten und putzen, war dann auch schon wieder Sight-Seeing angsagt. Einige Kilometer südlich von Perth machten wir einen kurzen Abstecher nach Freemantle, eine vor tausenden Jahren durch die Aborigines gegründete Stadt. Die Europäer sind in 1829 hier angelangt. Die Bauten aus dieser Zeit zählen zu den ältesten in Westaustralien.

Für die «Wagentaufe» und das Testen der Restaurant- und Hotelfunktionalitäten, steuerten wir dann Mandurah, am Indischen Ozean an. Zur Überraschung des älteren Mondereisenden, ist das Gefährt komfortabler als es aussieht!