vendredi 23 octobre 2009

Where am I - Indonésie

Si un jour tu devais être pris en otage et être lâché quelque part sur cette planète, la check-list suivante te permettra de savoir si tu es en Indonésie :

- tu pourras facilement te faire une petite mosquée dans ton jardin, il y a des magasins fournissant le nécessaire partout
- les tuk-tuk sont fabriqués comme des side-cars
- comme tout, imitant la nature, les minibus se font concurrence pour celui qui sera le plus coloré
- si tu es avec des gens et que vous buvez un thé, ne soit pas étonné si ils versent leur thé trop chaud dans leur soucoupe pour le refroidir
- les chats ont une queue mesurant entre 2 et 20 centimètres
- Il y aura toujours quelques coqs dans des cages au coin des rues, toujours prêts pour un petit combat
- Quand tu croiseras quelqu’un, on te demandera “where are you going ? »
- Sur ton passage, tout le monde te diras “Hello misterrrrr”
- tu te ferras souvent réveiller avant le lever du soleil par le muezzin
- si tu veux prendre un transport public, le plus dur ne sera pas le voyage mais de le trouver !
- tu sauras que tu es à Bali, si tu croises partout dans les rues des gens en sarong avec des turbans sur la tête

Solltest du eimal entführt und irgendwo auf diesem Erdball wieder freigelassen werden, kannst du anhand der nachfolgenden Checkliste feststellen, ob du in Indonesien bist:

- Do it yourself, das gilt hier auch für Moscheen. Moscheen-Kuppeln werden überall am Strassenrand verkauft
- Die Tuk-Tuks gibts hier in der “Seitenwagen-Variante”
- Die Natur nachahmend, geht es auch bei den Minibussen darum, der farbigste zu sein
- Ist der Tee zu heiss, wird er in die Untertasse geschüttet
- Die Katzen haben hier alle entweder keinen oder einen gebrochenen Schwanz
- Die am Strassenrand unter Bastkörben eingesperrten Hähne scheinen jederzeit für den nächsten Kampf bereit
- “Where are you going” wirst du fast so oft hören wie “Hello mistrrrrr”
- Der Muezzin singt dich meistens schon vor dem Sonnenaufgang aus dem Schlaf
- Wenn alle Einheimischen mit Sarong und “Turban” gekleidet sind, bist du in Bali angelangt

Nourriture Indonésienne

Cela ne va pas vous surprendre, encore une fois nous nous sommes régalés ! Et encore une fois c’était la plupart du temps dans les étales de rues ou les « warung » (restaurants simples où les mets sont préparés à l’avance et exposés en vitrine). Voilà les différents plats que l’on trouve le plus souvent et qui semblent être les préférés des indonésiens :

- Nasi Goreng : riz sauté souvent bien épicé et accompagné d’un oeuf dur ou sur le plat. Notre préféré était le Nasi Campur, agrémenté de légumes et de poulet
- Gado-gado : salade recouverte d’une sauce à la cacahuète
- Poulet Satay : poulet recouvert d’une sauce encore une fois à la cacahuète (recette aussi dégustée en hollande, est-ce l’ex-colonisateur qui a influencé l’ex-colonisé ou l’inverse ?)
- Nasi Gudeng : spécialité de Yogyakarta, riz accompagné de jacque (un fruit !) mariné dans de la noix de coco

Les indonésiens sont fans de chips et de crackers, ils en font avec tous les aliments possibles et imaginables, de la traditionnelle pomme de terre en passant par les fruits et les poissons. Les étales de crackers sur les marchés sont à couper le souffle !

En ce qui concerne les boissons, les indonésiens boivent du thé et du café cultivé localement. La bière indonésienne, la Bintang, est présente mais dans une moindre mesure que dans les autres pays d’Asie du sud-est, l’Indonésie étant le plus grand pays musulman au monde.

Es wird euch nicht verwundern, wir haben uns einmal mehr gefühlt wie im Schlaraffenland und einmal mehr gab’s das beste Essen in der Strasse oder den Warungs (einfache Restaurants, in denen die vorgekochten Speisen im Schaufenster ausgestellt werden). Nachfolgend die überall angetroffenen Spezialitäten:

- Nasi Goreng: Gut gewürzter Reis serviert mit einem Spiegelei. Bei der Spezialausführung, dem Nasi Campur, gibt’s ein wenig Gemüse dazu.
- Gado-Gado: Salat mit Erdnuss-Sauce
- Poulet Satay: Poulet-Spiesschen mit Erdnuss-Sauce und Reis (scheint auch in Holland beliebt zu sein – ob hier die Kolonialmacht die Kolonie oder die Kolonie die Kolonialmacht beeinflusst hat, wissen wir nicht)
- Nasi Gudeng : Eine Spezialität aus Yogyakarta. Reis mit Kokosnuss und Jackfrucht

Chips und Crackers gibt’s zu jedem Gericht und in allen nur vorstellbaren Variation, von den einfachen Kartoffelchips bis zu den Meeresfrucht-Crackers. Die darauf spezialisierten Marktabteilungen sind entsprechend farbenfroh.

Was die Getränke anbelangt, besteht meistens die Auswahl zwischen lokalem Kaffee und Tee. Das indonesiche Bier, Bintang, ist nicht ganz so präsent wie die lokalen Biersorten in den anderen südostasiatischen Ländern. Dies hängt wahrscheinlich auch damit zusammen, dass wir uns hier im grössten muslimischen Land der Welt befinden.

Ubud

Ubud liegt eine Bemo- (Minibus) Stunde nördlich von Kuta, Balis “El Arenal”. Entsprechend gibt es hier vor allem D&G Boutiquen und ein Warung (einfaches indonesisches Restaurant) zu finden, stellt eine echte Herausforderung dar. In diesem Sinne hat uns auch der schon fast zur Gewohnheit gewordene Roller-Ausflug, etwas bisher noch nie gesehenes entdecken lassen: Eine über 10 Kilometer lückenlos von Handidcraft-Shops gesäumte Strasse!

Einmal mehr lässt sich die Umgebung aber nicht bloss auf den Tourismus reduzieren. Die Landschaften sind traumhaft, Tempel und religiösen Zeremonien sind omnipräsent. Man versteht schnell, warum Bali auch die “Insel der tausen Tempel” genannt wird und kommt ab der Vielfältigkeit der Riten und Feste kaum mehr aus dem Staunen.

Ubud se situe une heure de bemo (minibus) au nord de Kuta, l'Ibiza Balinais. Il n’était donc pas étonnant de croiser essentiellement des boutiques D&G et de devoir effectuer des recherches approfondies pour trouver un warung (simple restaurant indonésien). Dans le même esprit notre traditionnelle excursion en scooter nous a fait découvrir quelque chose d’inédit : une route bordée de boutique de souvenir sur 10 km de long.

Une fois de plus les alentours ne se réduisent cependant pas qu’au tourisme. Les paysages sont splendides et les temples et les cérémonies religieuses sont omniprésents. On comprend vite pourquoi Bali est appelé « l’île aux mille temples » et la variété des rites et des fêtes laissent pantois.

Gili Meno

Ca y est au bout de 6 mois de voyage nous avons trouvé le paradis (je sais on vous l’a déjà dit mais là c’est vrai !). Notre bonheur s’est trouvé sur l’île Gili Meno, au large de Lombok.

Nous avons déposé nos sac à dos dans un petit bungalow à 5 mètres d’une mer turquoise remplie de poissons multicolores et de tortues à observer juste avec un masque et un tuba. Pour finir nos journées en beauté avant de s’endormir au rythme des vagues, nos repas se sont résumés à déguster un poisson, pêché quelques heures auparavant et grillé au feu de bois.

Geschafft ! Nach sechs Monaten reisen sind wir im Paradies angelangt (ja, das haben wir schon einmal geschrieben, dieses Mal wollen wir euch aber nicht bloss eifersüchtig machen). Das entsprechende Stück Welt befindet sich vor der nördlichen Küste von Lombok und heisst Gili Meno.

Die Rucksäcke wurden in einem gerade einmal fünf Meter vom Strand gelegenen Bungalow verstaut. Das türkisfarbe Meer bot genügend farbige Fische und riesige Schildkröten um auch beim X-ten Schnorchelausflug keine Langeweile aufkommen zu lassen. Wie es sich für einen solchen Ort gehört, gab es vor jedem Einschlafen zum Rauschen des Meeres, ein von Postkarten-Sonnenuntergängen begleitetes Fisch-Barbecue.

Senggigi

Pour ceux qui se disent que nous commençons à nous ennuyer en voyage, voici un petit exemple de ce que peut être un trajet en Indonésie.

Comment aller de Lovina à Senggigi sur l’île de Lombok ? Sur la carte cela parait d’une simplicité enfantine, un trajet de moins de 100 km pour rejoindre le port de Padangbai, une traversée en ferry puis un dernier trajet de 40 km pour rejoindre Senggigi. Le choix le plus simple aurait été de payer le prix fort les agences proposant le tout en petit bus confinant les touristes entre eux et les amenant à bon port. Comme nous aimons bien nous compliquer la vie et que l’on trouve cela vraiment plus drôle, nous avons choisi de le faire par nous même.

Première difficulté, comment savoir ou prendre les bus se dirigeant vers Padangbai ? Après avoir en vain interrogé plusieurs locaux qui n’avaient jamais entendu parler d’un endroit aussi exotique qu’une gare routière, nous avons décidé de nous poser au bord de la route au petit matin et de lever la main au premier transport passant. Apres avoir refusé maintes offres pour un transport privé, un premier minibus nous a transporté 10 kilomètres plus loin.

Sortis de celui-ci un chauffeur nous a crié « je vous amène au prochain terminal ! », qu’est est ce que c’est que le prochain terminal ? Aucune idée, nous sommes montés quand même. Arrivés encore quelques kilomètres plus loin, nous nous sommes retrouvés dans une petite gare routière. Là un homme nous a dit « Non aucun transport ne part à Padangbai, mais vous avez de la chance mon pote est là et peut vous amener directement à destination et comme vous êtes sympa, il vous fait un super prix».

Nous voilà donc repartis sur la route avec nos sacs à dos (il faisait bien 30°…). Retour à la case départ, comment fait-on ? Là un minibus a une inscription sur le par brise noté Amlapura, super c’est à moins de 10 Km de Padangbai !

Nous : «Est ce que ce bus va à Amlapura ?»
Chauffeur : «Oui»
Nous : «Combien ?»
Chauffeur : «Combien vous voulez payer ?»…

Après une négociation convenant aux deux parties, une petite heure d’attente et c’était le départ. Là Bali s’est dévoilé sous nos yeux, les rizières en terrasses dans des paysages vallonnés et verdoyant, se succédant à des paysages de sécheresse absolue, le tout avec en fond le majestueux Gunung Agung, le plus grand volcan de Bali. Après une simple « correspondance » supplémentaire, nous voilà devant les bateaux.

Comme on pouvait s’y attendre là aussi une dizaine de personnes avec des petits sourire en coin étaient prêts à nous vendre des billets. Malheureusement là encore personne n’avait entendu parler d’un endroit aussi exotique qu’un guichet. Après quelques recherches par nous même, nous avons fini par trouver celui-ci avec des tickets que nous aurions pu revendre au double de leur prix au coin de la rue. Nous avons donc pu enfin dire au revoir aux côtes balinaises au coucher du soleil.

A Lembar nous sommes restés bloqués sur le bateau pour des raisons inconnues jusqu’à ce que le dernier bus public soit parti. Pas de raison de paniquer, car même dans une situation aussi critique, tout un troupeau de solutionneur de problème nous attendait au port. Les éviter de nuit et dans des rues sans lumière était finalement quand même trop compliqué. Nous avons donc embarqué dans un taxi et nous sommes faits amener à Senggigi.

Le lendemain nous avons enfin pu découvrir les charmes de Lombok, une île où s’étendent des kilomètres de plages désertes bordées de cocotiers et des villages de pêcheurs. Le contraste un peu trop marqué à notre gout entre la vie traditionnelle sue l’île et la station balnéaire préfabriquée de Senggigi, nous a cependant fait vite refaire nos sacs.

Ein Reisebericht für all diejenigen, die denken, dass uns hier langsam langweilig werden muss.

Auf dem Programm stand die Reise von Lovina nach Senggigi, auf der Insel Lombok. Ein kurzer Blick auf die Karte: Weniger als 100 Kilometer bis zum Hafen von Padangbai, eine kurze Fahrt mit der Fähre und dann noch ein letztes Stück von knapp 40 Kilometern bis nach Senggigi. Ein Kinderspiel. Die einfachste Lösung hierfür wäre gewesen, die ganze Organisation einem Tour-Operator zu überlassen und per sündhaft teurem Minibus ans Ziel zu gelangen. Da wir es lieber etwas komplizierter und spassiger haben, entschieden wir uns für die handgestrickte Variante.

Wir machten uns also auf die Suche nach der Haltestelle mit Bussen in Richtung Padangbai. Da sich kein Einheimischer finden liess, der schon jemals von einem solchen Ort gehört hatte, standen wir schlussendlich einfach an den Strassenrand und versuchten, vorbeifahrende Gefährte auf uns aufmerksam zu machen. Nachdem wir, unter Einsatz von viel Überzeugungskraft, mehrere Privatchauffeure und Tour-Operatoren abgewimmelt hatten, hielt dann auch endlich ein ganz gewöhnlicher öffentlicher Minibus. 10 Kilometer weiter war diese Fahrt dann aber leider schon wieder zu Ende.

Nach dem Aussteigen gab’s dann jedoch eine grosse Überraschung: Direkter Anschluss zum nächsten “Terminal”! Keine Ahnung wo dieser lag, Alternativen gab es aber keine und ein paar Minuten später waren wir dann auch tatsächlich bei einer Bushaltestelle angelangt. Dort bedauerte ein sehr zuvorkommender junger Herr sogleich sehr, dass der letzte Bus nach Padangbai eben abgefahren war. Da er uns jedoch sehr sympatisch fand (lächeln :-)), schlug er vor, sein Freund könnte uns dorthin bringen. Und erst noch für einen guten Preis!

Wir waren also ein weiteres Mal gestrandet und beschlossen, unser Glück wieder am Strassenrand zu versuchen. Da stand dann auch prompt ein Minibus mit einem Schild “Amplapura”, eine lediglich 10 Kilometer von Padangbai entfernte Ortschaft.

Wir: “Fährt der Bus nach Amlapura?”
Fahrer: “Ja”
Wir: “Wieviel?”
Fahrer: “Wieviel wollt ihr bezahlen”

Nach für beide Seiten erfolgreicher Verhandlung und einem Stündchen warten ging es dann auch schon weiter. Entlang von Reisfeldern, durch hüglige, knallgrüne Landschaften, entlang der Küste, vorbei am Gunung Agung, dem grössten Vulkan Balis und schon waren wir, nach nur einem weiteren Mal umsteigen, am Hafen angelangt.

Wie nicht anders zu erwarten, mangelte es auch hier nicht an gut gelaunten und überfreundlichen Ticketverkäufern. Leider hatte aber auch hier noch niemand von so etwas exotischem wie einem Ticketschalter gehört. Wir machten uns also einmal mehr selber auf die Suche und wurden für den Aufwand prompt durch Tickets belohnt, die wir ein paar Meter weiter problemlos für den doppelten Preis an den Mann hätten bringen können… Bei Sonnenuntergang stach unsere Fähre ins Meer.

In Lembar, Lombok, blieb unser Schiff aus unerfindlichen Gründen so lange vor dem Hafen liegen, bis auch der letzte öffentliche Minibus abgefahren war. Kein Grund zur Panik, denn auch für diese schwierige Situation stand am Hafen natürlich eine ganze Schar Problemlöser bereit. Diese bei Nacht und in Strassen ohne Beleuchtung zu umgehen, war dann aber eine Nummer zu gross für uns. Wir stiegen also in ein Taxi und liessen uns nach Sengiggi chauffieren…

Am nächsten Morgen wurden wir für die vortäglichen Strapazen durch das traumhafte Lombok entschädigt. Kilometer lange, von Kokospalmen gesäumte Sandstrände und hübsche Fischerdörfchen. Der für unseren Geschmack etwas zu massive Kontrast zwischen dem aus dem Boden gestampften Badeurlaubs-Ort Senggigi und der traditionnellen Stimmung auf der Insel, liessen uns jedoch schnell weiterreisen.

jeudi 22 octobre 2009

Lovina

Bali – Die bevorzugte Badeferien-Destination der Australier und sicher auch nicht weniger Europäer. Ein von Einheimischen aus diesem Grund kaum mehr angesteuertes Ferienziel. Nach sechs Monaten auf eher weniger bereisten Routen, sahen wir unserer nächsten Reiseetappe mit etwas gemischten Gefühlen entgegen, wurden dann aber positiv überrascht.

Das im, gemäss Reiseführer noch weitgehend unberührten, Norden gelegene Lovina ist zwar kein traditionelles Fischerdorf, bot uns jedoch die Möglichkeit, in nur wenigen Roller-Minuten Entfernung, in eine uns komplett unbekannte Welt einzutauchen. Kein Haus ohne Tempel, kein nicht traditionnel gekleideter Einheimischer, terrassierte Reisfelder, Seen und ein unglaublich vielseitiges Klima, welches von 30° am Strand bis zu schweizerischen November-Tag-Temperaturen in den Bergen reicht!

Bali – La destination balnéaire préférée des Australiens et certainement une des top-destinations exotique de beaucoup d’Européens, lieu précisément évité pour ces raisons par les Indonésiens. Après 6 mois sur des routes plus reculées, nous appréhendions cette étape qui nous a finalement positivement surpris.

Lovina, qui se trouve dans le nord quasiment intouché d’après le guide de voyage n’est avec ses innombrables spas, bars et pizzerias, certainement pas un village de pécheur traditionnel. Cependant quelques minutes de scooter suffisent pour découvrir un monde complètement différent. Pas de maison sans temple, une tradition religieuse hindoue palpable, des rizières en terrasse, des lacs et un climat incroyablement diversifié allant de 30° à la plage aux températures suisses du mois de novembre en montagne !

Bromo

Die Reise von Yogyakarta nach Bromo führte vorbei an Vulkanen, durch knallgrüne Reisfeld-Landschaften und, was für diese Breitengrade überrascht, auch immer wieder durch sehr trockene Gebiete.

Am nächsten Morgen folgte eine weitere Tagwache zu früher Morgenstunde. Während uns die Wolken bei der Gunung Merapi-Besichtigung einen Strich durch die Rechnung gemacht hatten, liessen hier die zum Greifen nahen Sterne schon vor Tagesanbruch keinen Zweifel, dass es dieses Mal anders sein würde.

Bei Sonnenaufgang die fast ausserirdisch anmutende Landschaft des Bromo-Tengger-Semru (so heissen die drei Vulkane) Nationalparks zu überblicken, ist ein kaum in Worte fassbares Erlebnis. Selten haben wir uns auf unserer Reise so klein und unbedeutend gefühlt und selten haben wir uns so oft umgedreht, um noch einen letzten Blick auf eine Landschaft zu erhaschen!

Lors du voyage de Yogyakarta à Bromo se sont succédés les nombreux volcans javanais, les rizières vertes pétantes et, ce qui nous a étonné pour ces latitudes, souvent des paysages presque désertiques.

Le lendemain matin un autre réveil avant le lever du soleil nous attendait. Alors que les jours précédents les nuages nous ont empêchés d’apercevoir le Gunung Merapi, les étoiles à portée de main ne laissaient cette fois ci pas de doute sur le fait que cela allait être différent.

Admirer le panorama quasiment surnaturel du Parc National Bromo-Tengger-Semru (nom des trois volcans) est une expérience qui peut difficilement être résumé en quelques mots. Lors de notre voyage, nous nous sommes rarement sentis si petits et insignifiants et nous sommes rarement autant retournés pour avoir un dernier regard sur un paysage.

Yogyakarta

"Yogya" comme l’appellent les Indonésiens, est une de ces villes où l’on aurait bien envie de planter sa tente et ne plus bouger. Il y règne une atmosphère particulière, pleine de vie et de joie de vivre : du marché du centre-ville où nous avons un peu retrouvé les joies des bazars iraniens, aux restaurants de rues où les musiciens viennent rythmer votre repas avec leurs mélodies javanaises…

Cette ville si agréable nous a servi de point d’attache pour rayonner dans toute la région vers les temples et volcan alentours :
- Temple de Borobudur : construit au VIIIème et IXème siècle, ce temple est à la fois un sanctuaire dédié à Bouddha et un lieu de pèlerinage bouddhiste. Près de 5 km de bas-reliefs illustrent les épisodes de la vie de Bouddha et ses enseignements. En suivant la cosmologie bouddhiste, le temple est séparé en trois mondes. En le grimpant on passe du monde des êtres humains dans le monde de la perfection et de l’illumination.
- Temples de Prambanan : plus grand complexe de temples Hindou à Java, il était constitué à l’origine de plus de 240 temples dont la plupart a été détruit par les nombreux tremblements de terre survenant dans la région. Les trois temples les mieux conservés sont dédiés à Vishnu, Shiva et Brahma.
- Gunung Mérapi (montagne de feu) : volcan le plus actif en Indonésie, nous aurions aimé pouvoir vous le décrire mais malgré deux réveils successifs avant le lever du soleil pour aller l’admirer, il est resté derrière les nuages…

"Yogya", wie die Indonesier sie nennen, ist eine der Städte, in der man schnell die Zeit vergisst. Es herrscht eine unglaublich lebhafte und friedliche Stimmung: vom zentralen Markt, welcher ein wenig an das bunte Treiben auf den iranischen Bazars erinnert, bis hin zu den durch unzählige Strassenmusikanten animierten Strassencafés…

Es viel uns deshalb nicht schwer, hier unser Basislager für diverse Ausflüge in die Region aufzuschlagen. Auf dem Programm standen:
- Borobudur: Diese im VIIIten und IXten Jahrhundert erbaute Pyramide ist eine der größten buddhistischen Tempelanlagen Südostasiens. Auf fast 5km Flachreliefs sind das Leben des Buddhas und seine Lehren dargestellt. Der buddhistischen Kosmologie folgend, ist der Tempel in drei Welten unterteilt. Beim Aufstieg gelangt man so von der „untersten“ Welt, der Welt der Menschen, in die „unkörperliche“ Welt, die Welt der Perfektion und der Erleuchtung.
- Die Tempel von Prambanan : Die grösste hinduistische Tempelanlage auf Java. Ursprünglich standen hier 240 Tempel, nur die wenigsten haben aber die zahlreichen Erdbeben der Region überstanden und auch der Wiederaufbau scheint ein fast hoffnungsloser Kampf gegen die Launen der Natur zu sein. Gut erhalten sind heute die den Göttern Shiva, Vishnu und Brahma geweihten Tempel.
- Gunung Merapi (Feuerberg): Gerne würden wir euch mehr über den aktivsten Vulkan Indonesiens erzählen. Er blieb aber trotz zwei aufeinanderfolgender Annäherungsversuchen bei Nacht und Nebel hinter den Wolken versteckt…

samedi 10 octobre 2009

Jakarta

Das Erdbeben im Westen von Sumatra zwang uns, auf den Tag genau sechs Monate nach unserem Abflug, zum ersten Mal in ein Flugzeug einzusteigen. Obwohl wir zuerst enttäuscht waren, nicht auf dem Landweg weiterreisen zu können (insbesondere da es sich um die in die südliche Hemisphäre führende Strecke handelte), war dieser Flug zum Verstehen von Indonesien schlussendlich gar nicht so schlecht. Wenn innerhalb von 15 Minuten fünf Maschinen vom Typ Airbus A320 zum gleichen Ziel aufbrechen, wird dir klar, dass du dich in einem bevölkerungsreichen Land befindest. Immerhin 250 Millionen Menschen leben hier. Das ist weltweit der 4. Platz! Wenn der Flug über 2 Stunden dauert (das ist gleich lange wie Wien-Paris) und du noch nicht einmal die hälfte des Landes durchquert hast, dann wird dir auch bewusst, wie gross Indonesien ist…

Nachdem es uns einige Tage zuvor nicht gelungen war, uns für den “King of the Fruits”, die Durian, zu begeistern, hat es auch mit der Liebe fuer die “Big Durian” (Übername für Jakarta, in Analogie zum Big Apple) nicht so richtig klappen wollen. Die 9 Millionen Stadt ist in erster Linie gross, laut und schmutzig. An diesem Eindruck konnten auch die durchaus charmanten Gassen in den holländischen Kolonial-Quartieren, die atemberaubenden Aussichten vom Monas (National-Monument) und das faszinierende und sehr gut funktionierende Bus-System, nichts ändern…

Die unzähligen, uns während unserer Stadttour zugerufenen, «hello misterrrrr, hello misssss», werden jedoch dafür sorgen, dass wir uns auch an diesen Ort gerne zurückerinnern werden!

Le tremblement de terre dans l’ouest de Sumatra nous a obligés, six mois jour pour jour après notre départ, à monter à bord d’un avion pour notre arrivée dans l’hémisphère sud. Bien qu’ayant été un peu déçus au premier abord de ne pas pouvoir continuer par voie terrestre, le vol a été intéressant pour comprendre l’Indonésie. Quand dans l’espace de 15 minutes, 5 appareils de type A320 partent pour la même destination, tu comprends que tu te trouves dans un pays bien peuplé : 250 millions d’habitants, c’est la 4ème place au niveau mondiale. Quand le vol dure plus de 2 heures c’est l’équivalent d’un Vienne-Paris, et que tu n’as même pas traversé la moitié du pays tu réalises en plus que l’Indonésie est sacrément grande…

Après ne pas avoir réussi à apprécier la Durian, le « King of the fruit » il y a quelques jours, nous n’avons pas non plus vraiment réussi à tomber amoureux de la « Big Durian » (surnom de Jakarta en analogie avec la « Big Apple »). La ville de 9 millions d’habitants est surtout grande, bruyante et sale. Même les ruelles plutôt sympathiques des quartiers coloniaux hollandais, les vues à couper le souffle du Monas (Monument National) et le système de bus étonnement performant n’ont rien pu changer à cette impression…

Notons tout de même qu’un élément nous a tout de même laissé un grand sourire sur le visage à la fin de la journée, les « hello misterrrr, hello misssss » de tous les habitants à notre passage!

Tuk-tuk - Lac Toba

Sur la route de Bukit Lawang via Medan pour nous rendre sur le lac Toba, encore une image d’un pays a été changée dans nos têtes. Sumatra n’est en effet (en tous cas pas sur d’importantes surfaces) le paradis tropicale qu’évoque son nom dans nos imaginaires : c’est devenu une énorme plantation de palmier pour la fabrication d’huile de palme.

Le lac Toba est le plus grand lac volcanique au monde et son île (Samosir) est beaucoup plus paradisiaque. L’île est peuplée de Batak, la population du nord de l’île de Sumatra. Dans les années 90, le tourisme a littéralement explosé sur l’île et notamment sur la petite péninsule de Tuk-tuk où de nombreuses infrastructures ont été construites pour accueillir les visiteurs. Quelques années plus tard, Bali et les destinations Thaïlandaises, dorénavant plus faciles d’accès, ont détrôné Samosir, laissant les guesthouses et les restaurants désœuvrés…

Le lac Toba est donc aujourd’hui un petit paradis bien calme : une eau à 25°, des cocotiers, une population extrêmement accueillante toujours prête à passer une petite soirée à chanter avec vous ! Se promener en scooter sur l’île est un vrai bonheur, entre les maisons typiques des Bataks et accompagné par les habitants se dirigeant tout endimanché vers les églises protestantes (à peu près 90% de la population) – jusqu’au moment où nous nous sommes retrouvés les genoux dans les graviers après un dérapage incontrôlé… mais à 5 km à l’heure nous nous en sommes remis !

Auf der Fahrt von Bukit Lawang über Medan zum Lake Toba, wurde ein weiteres, in unseren Köpfen vorhandenes, Bild über den Haufen geworfen: Sumatra ist (zumindest über weite Strecken) nicht das auf den Shampoo-Flaschen abgebildete tropische Paradies, sondern eine riesige Ölpalmen-Plantage.

Der Lake Toba, der weltweit grösste vulkanische See und dessen Insel Samosir, hatten dann schon wieder etwas mehr von einem Paradies. Die Insel ist das Zuhause der Batak, eines der rund 300 in Indonesien lebenden Völker. In den 90iger Jahren war die Gegend, insbesondere die Halbinsel Tuk-Tuk, eine Touristenhochburg. Mit dem Aufkommen des Massentourismus in Thailand und auf Bali gelangte die Insel Samosir jedoch wieder in Vergesseneheit. Heute besteht ein entsprechendes Überangebot an Guesthouses und Restaurants…

Samosir bietet 25-grädiges Wasser, herrliche Landschaften und eine unglaublich gastfreundliche und immer für einen Musikabend motivierte, Bevölkerung. Am Sonntag mit dem Roller über die Insel zu düsen ermöglichte uns nicht nur, die schönen Häuser und die modischen Kleider der Kirchgänger (wahrscheinlich 90% der Bevölkerung) zu bestaunen, sondern auch, endlich einen Verkehrsunfall in die Statistik aufzunehmen. Glücklicherweise wurde niemand verletzt. Sonst hätte es uns noch viel mehr geärgert, dass nur wir daran beteiligt waren…

lundi 5 octobre 2009

Bukit Lawang

Ca y est nous sommes arrivés en Indonésie sans prendre l’avion ! Il a cependant fallu mériter la dernière étape… Nous avons fait le trajet entre la Malaisie et l’Indonésie dans un petit bateau qui dès le départ a commencé à ressembler davantage à des montagnes russes, avec 25 personnes faisant le concours de qui sera le plus malade. Le moment le plus difficile est au bout de 5 mn de trajet de se dire : encore 5h55…

Dès notre arrivée au Nord de Sumatra, nous sommes partis dans la jungle, autant se mettre tout de suite dans le bain ! Bukit Lawang, village à la lisière du parc national « Taman Nasonal Gunung Leuser » a été notre point de départ pour une marche de deux jours et une nuit dans la forêt tropicale pour tenter de voir des Orang-outang - nous n’avons pas été déçus, nous avons pu en observer une dizaine ! A examiner les comportements des mères avec leurs petits, ça nous a à peine étonné de découvrir que l’on partage 96,5% de nos gènes avec eux, en revanche en les regardant presque « courir » d’arbre en arbre avec une agilité impressionnante, nous avons un peu plus cherché la ressemblance !

Nous sommes revenus au village en descendant la rivière sur de grosses bouées, accompagnés pendant quelques mètres par un serpent tombé tout droit d’un arbre devant mon nez, bien que petit et très mignon (vert pétant) il m’a fait pousser quelques cris !

Le retour à Bukit Lawang a été moins joyeux, nous avons appris dès notre arrivée les détails alarmants du séisme qui s’est produit à l’ouest de Sumatra le jour même de notre arrivée.

Um ohne zu fliegen von Zuhause nach Indonesien zu gelangen, mussten wir noch eine Härteprüfung überstehen. Die Bootsfahrt zwischen Malaysia und Indonesien glich schon kurz nach Abfahrt einer Achterbahnfahrt und die 25 Insassen schienen alle den Preis des sich am indiskretesten übergebenden Passagiers gewinnen zu wollen. Der schwierigste Moment der Reise kam nach 5 Minuten, als es hiess: Noch 5 Stunden und 55 Minuten…

Gleich nach unserer Ankunft im Norden von Sumatra reisten wir Richtung Dschungel, nach Bukit Lawang, weiter. Diese am Rande des Gunung Leuser Nationalparks gelegene Ortschaft bildete den Ausgangspunkt einer zweitägigen Orang-Utan-Beobachtungs-Wanderung - wir wurden nicht enttäuscht und bekamen ein gutes Dutzend der Tiere zu sehen! Nachdem wir gesehen hatten, wie sich die Mütter um ihre Kinder kümmern, waren wir nicht wirklich erstaunt zu lernen, dass die Gene dieser Tiere zu 96,5% mit den unseren übereinstimmen. Etwas weniger offensichtlich sind die Gemeinsamkeiten wenn man sieht, wie sie zwischen den Bäumen hin- und herschwingen.

Auf der River-Rafting-Fahrt zurück nach Bukit Lawang machte Sophie dann noch Bekanntschaft mit einem blinden Passagier der besonderen Art. Das Reptil kam nach seinem Sturz von einem Baum genau vor ihrer Nase zu liegen. Obwohl recht klein und eigentlich auch ganz niedlich, hat die knallgrüne Schlange doch einige Hektik an Bord verursacht…

Die Ankunft in Bukit-Lawang war dann etwas weniger erfreulich. Hier haben wir von dem starken Erdbeben im Westen der Insel erfahren.

Pulau Penang – Georgetown

Georgetown, Malaysia, die zweite Station auf unserer Länder-Hopping-Reise in Richtung Indonesien… Um hier hin zu gelangen mussten wir seit langem wieder einmal eine längere Zugreise auf uns nehmen. Die 22 Stunden vergingen dank Landschaftskino und dem wohl Besten in einem Zug je servierten 4-Gang-Menu jedoch wie im Flug…

Wie es sich für eine so lange Reise gehört, wartete am Ziel eine andere Welt auf uns. Wie ganz Malaysia, war die Insel Penang in jüngerer Geschichte unterschiedlichen Einflüssen ausgesetzt. Nach den Portugiesen kamen die Holländer und im 1786 die Briten, welche hier einen Aussenhandelsposten errichteten. Damit trafen sich hier Händler aus der ganzen Welt und entsprechend vielseitig ist nun das Leben hier. In der Innenstadt von George Town stehen Moscheen neben Kirchen, hinduistischen und chinesisch-buddhistischen Tempeln und gehen Little India, China Town, das moderne Malaysia und die kolonialen Quartiere fliessend ineinander über.

Auf unserer Motorrad-Entdeckungstour auf der Insel konnten wir auf der Tropical-Fruit-Farm bisher noch unbekannte Früchte testen (versucht doch bei Gelegenheit mal die Rambai (siehe Bild - traubenförmige Frucht in der Mitte)), tropische Landschaften bestaunen und das wahrscheinlich Beste, auf dieser Welt je gekochte, Curry geniessen.

Jetzt kommt sicher langsam der Eindruck auf, dass wir den ganzen Tag nur essen. Das stimmt natürlich nicht, ist so falsch aber auch wieder nicht. Gutes Essen ist ganz klar eines der Highlights und auch eine der grossen Überraschungen unserer Reise. Wo auch immer wir bisher waren, wir haben fast immer hervorragend gegessen. Und das meistens in einfachsten Baracken oder Strassenständen.

Georgetown, Malaisie, la deuxième station sur notre période de “saut de pays” en direction de l’Indonésie… Pour arriver là, nous avons dû pour la première fois depuis longtemps effectuer un long voyage en train. Grâce aux paysages magnifiques et au meilleur repas (à 4 plats !) jamais servi dans un train, les 22 heures sont cependant passées comme l’éclair…

Comme il se doit pour un si long voyage, un nouveau monde nous attendait à destination. L’île de Penang a été soumise comme toute la Malaisie à différentes influences : commençant par les Indiens en passant par les Portugais et les Hollandais, Penang est devenue finalement une zone commerciale britannique en 1786. Ces influences se ressentent aujourd’hui dans les rues de la ville. Dans le centre de Georgetown, les mosquées se trouvent à côté des églises, des temples Hindous et Bouddhistes - Little India de Chinatown - la Malaisie moderne des quartiers coloniaux.

Lors de notre excursion en scooter, nous avons pu tester des fruits encore inconnus pour nous dans la « Tropicale fruit farm » (essayez les Rambai, cf image), admirer les paysages tropicaux et savourer le probablement meilleur curry qui ait jamais été cuisiné dans ce monde.

Vous devez vraiment vous dire que nous ne faisons que manger toute la journée. C’est bien évidement pas le cas mais pas complètement faux non plus. La bonne nourriture est clairement un des « High lights » et une des très grandes surprises de notre voyage. Partout où nous sommes allés, nous nous sommes quasiment toujours régalés, et ceci, habituellement en mangeant dans les baraques de rues ou les étales des marchés les plus simples.

Bangkok

Der Kontrast zwischen Kambodscha und Thailand erinnerte uns irgendwie an die auf der Reise von China nach Vietnam festgestellten Gegensätze. Nach dem überschaubaren und eher gemütlichen Kambodscha erwarteten uns auf der anderen Seite der Grenze wieder 4-spurige Autobahnen, jede Menge Hektik und mit Bangkok eine weitere Millionenstadt.

Bangkok, Krung Thep oder eben die “Stadt der Engel”, war unser einziger, dafür aber umso eindrücklicherer, Aufenthalt in Thailand. In dieser Stadt scheint es einfach alles zu geben, von Bouddhistischen Tempeln über ultramoderne Wolkenkratzer bis hin zum bettelnden Rucksacktouristen…

Nacholgend unsere Favoriten:

- Chinatown: Ein fast unvorstellbares Wirrwarr von Gassen, Geschäften, Restaurants, ..
- Chao-Phraya-River: Ein Ausflug mit dem Chao Phraya River Express führt vorbei an den am Flussufer liegenden Häusern auf Pfählen und bringt dich in wenigen Minuten vom historischen Bangkok in die ultramodernenen neuen Stadteile
- Vertigo: Freiluft-Bar auf dem Dach eines 59-stöckigen Hotels
- Taxis und Tuk-Tuks: Die Taxis gibts hier in allen Farben, die Tuk-Tuks sind tiefer gelegt und haben breitere Reifen…
- Wat Phra Kaew und Wat Pho: Nicht die ersten Tempel und Buddhas auf unserer Reise aber sicher von den Eindrücklicheren (siehe Flickr)!
- Grand Palace: Das ehemalige Zuhause der Könige – teilweise fast so kitschig und künstlich wie Eurodisnay
- Chatuchak Market: Die Mutter aller Märkte. Hier gibt es sowohl Bernhardiner als auch Eichhörnchen zu kaufen !
- Chaos: Am Siam Square zu stehen rechtfertigt wahrscheinlich alleine schon eine Reise nach Thailand. Hier kreuzen sich die beiden Skytrain-Linien und diverse Strassen und stehen moderne Einkaufszentren neben einfachen Ess-Buden, …

Le contraste entre le Cambodge et la Thaïlande nous a rappelé un peu les différences constatées entre la Chine et le Vietnam. Après le Cambodge tranquille et à taille humaine, les autoroutes à 4 voies, plein d’agitation et une mégalopole nous attendait de l’autre côté.

Bangkok, Krung Thep ou la « Ville des Anges » était notre seule mais très impressionnant arrêt en Thaïlande. Dans cette ville il y a simplement tout, du temple bouddhiste en passant par les gratte-ciels ultramodernes jusqu’aux backpackers faisant la manche…

Ci-dessous nos favoris:
- Chinatown : un incroyable fouillis de ruelles, de commerçants, de restaurants…
- Chao-Phraya-River : l’excursion avec le « Chao Phraya River Express » passe à côté des maisons sur pilotis sur les berges et te catapulte en quelques minutes du Bangkok historique aux parties ultramodernes de la ville
- Vertigo : un bar à l’air libre sur le toit d’un hôtel de 59 étages
- Taxi et tuk-tuk : les taxis existent ici dans toutes les couleurs et les tuk-tuk sont tunnés
- Wat Phra Kaew und Wat Pho: même si ce n’étaient pas les premiers temples bouddhistes de notre voyage, ils étaient tout de même parmi les plus impressionnants (cf Flickr)
- Grand Palace : l’ancienne demeure des rois – par endroit presque aussi artificielle et kitsch que celui de Cendrillon à Eurodisney
- Chatuchak market : ici tu peux acheter aussi bien des Saint-bernards que des écureuils
- Chaos : être posé au Siam square justifie à lui-même un voyage en Thaïlande. Ici se croisent les deux lignes de « Sky-train », une multitude d’échangeurs et de simples baraques à frites bordent les centres commerciaux modernes