Du fait de la végétation etde la topogaphie, la route de Doa Cheng à Shangri La il serait faux de la comparer avec celle du Pamir. Elle mérite cependant tout de même tout les superlatifs autant l’une que l’autre, à couper le souffle dans tous les sens du terme. partis à plus de 4000 mètres d’altitude nous avons monté pendant 12h bien au-delà des 4000 pour replonger dans la vallées suivante. Avec près de 500 mètres de dénivelés à nos pieds, à moins d’un mètre de la roue du bus…autant vous dire que les âmes sensibles doivent s’abstenir ! Le paysage se décrit difficilement, cependant nous avons bien entendu pris pleins de photos !
Shangri-La, Litjiang et Dali, nous ont encore une fois plongé dans un autre univers chinois : celui du tourisme de masse !
• Shangri-La, ville au sud du Yunnan et dernière étape sur notre découverte du bouddhisme en Chine. Realisant le potentiel de cette cité à suivre l’exemple de Dali et de Lijang, le gouvernement a entrepris la tranformation de l’ancienne Zhongdian.Il a officiellement déclare que la ville était l’empplacement du Shangri-La (paradis) imaginaire décrit dans un roman. Bien que mignon, il est évident que la ville ait probablement perdu un peu de son authenticité. Elle ressemble plus a une station de ski qu’à un village tibetain…
• Avez-vous déjà vu des millions de chinois en vacances ? Allez à Lijiang ! On comprend d’ailleurs tout de suite pourquoi tout le monde est là : le village est magnifique, fondé il y a plus de 800 ans, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1997, il est constitué de petites rues sinueuses entre des chalets en bois aux toits de tuiles. Le soir en traversant les rues pour aller diner, je me suis presque sentie un lundi matin aux heures de pointes dans le métro parisien... La ville de Lijiang est peuplée majoritairement de la minorité ethnique des Naxi. Spécifique pour leur société matriarcale, ce peuple a également développé depuis 2000 ans la seule écriture hiéroglyphe encore en usage en Chine, l’écriture « Dongba », qui s’éteint peu à peu et dont une grande partie des manuscrits a été détruite lors de la révolution culturelle.
• Dali heberge une autre minorite etnique, les Bai. Les Bai on defie l armee imperiale des Tang au VIII siecle et on etabli le royaume Nanzhou.Datant de cette periode l enceinte de la ville et les trois Pagodes forment l’attaction principale.
Malgré tout les inconvénients que le tourisme de masse apporte, ces trois villes restent des destinations à ne pas manquer sur la route du Yunnan.
Die Strasse von Dao Chang nach Shangri-La mit den im Pamir zurückgelegten Strecken zu vergleichen, wäre aufgrund der unterschiedlichen Vegetation und Topographie sicher falsch. Sämtliche Superlative verdient sie aber alleweil. Wir starteten auf 4000müm, stiegen dann während 12 Stunden unzählige Male weit über 4000müm auf, um auf der anderen Seite wieder ins nächste Tal abzutauchen… Die Strasse war übrigens für einmal nur teilweise asphaltiert und die Abhänge, die uns von den 500 Meter weiter unten liegenden Dörfern trennenten, waren oft nur wenige Zentimeter entfernt. Nichts für schwache Gemüter… Die Landschaft lässt sich in Worten nur schwer beschreiben, wir haben aber natürlich fleissig geknipst!
Unsere nächsten drei Etappen, Shangri-La, Lijiang und Dali, liessen uns ein weiteres chinesisches Phänomen entdecken : Den Massentourismus
• Shangri-La, eine Stadt im Süden des Yunnan, war die letzte Etappe auf unserer Bouddhismus-Entdeckungstour in China. Sich des Potenzials als Touristenmagnet bewusst, hat die Regierung in den letzten Jahren das ehemalige Zhongdian gründlich umgekrempelt. Der Ort und seine Umgbung wurden offiziell als das in einem Roman beschriebenen Shangri-La (Paradies) deklariert. Wenn auch ganz nett, so ist doch offensichtlich, dass die Stadt einiges von ihrem ursprünglichen Charme eingebüsst hat. Das Ganze ähnelt heute mehr einer Skistation in den Alpen als einem tibetischen Dorf…
• Wer glaubt, in Shangri-La den Höhepunkt des Massentourismus erreicht zu haben, wird in Lijiang eines Besseren belehrt. Und zwar richtig. Wenn man sich am Abend durch die engen Gassen zwängt, fühlt man sich wie in der Pariser Metro zur Stosszeit! Das Ganze hat natürlich einen Grund. Die vor 800 Jahren gegründete Altstadt mit ihren Holzhäusern, Kanälen und Gassen ist traumhaft schön und wurde 1997 in die Liste der UNESCO-Weltkulturerbe aufgenommen. Die in der Region lebende Naxi-Minderheit ist bekannt für ihre matrilineare Gesellschaftsform und die 2000 Jahre alte Piktogramm-Schrift “Dongba”.
• Dali ist das Zuhause der Bai, einer weiteren ethnischen Minderheitsgruppe. Die Bai haben im VIII Jahrhundert der imperialen Armee der Tang das Leben schwer gemacht und das unabhängige Königreich Nanzho gegründet. Aus dieser Zeit stammen die erstaunlich gut erhaltene Stadtmauer und die drei Pagoden, welche die Hauptatraktion der Ortschaft bilden.
Trotz der beschriebenen Schattenseiten des Massentourismus sind die drei Städte definitiv eine Reise wert!
samedi 8 août 2009
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