La Chine est un pays en perpétuel travaux. A chaque trajet nous avons notre petit arrêt pour laisser bétonner une portion de route, admirer la construction de garde-fous ou encore laisser déterrer un camion de chantier enlisé… Notre route vers Kanding a été plus que rythmée par cela, et les petits arrêts se sont transformés en 5 heures de bouchons sur une dizaine de kilomètres… Particulièrement intéressant dans ces bouchons est le comportement des automobilistes. Tout le monde essaye d’avancer le plus possible et pour cela, ils occupent toute la largeur de la route. Une fois les travaux terminés, tu restes bloqué pendant 3 fois plus longtemps en face des voitures arrivant dans l’autre sens.
Une route magnifique traversant de hauts plateaux (dépassant souvent les 4000 mètres), nous a conduits dès le matin vers Litang. Au milieu de nulle part, à 4014 mètres d’altitudes, Litang, sympathique petite ville de la région du Kham (Tibet oriental) abrite plus de 50 000 âmes. Comme à Dao Cheng étape suivante de notre périple, il n’y avait pas de grands spot touristiques à voir, mais grâce à son éloignement (les programmes de développement du gouvernement chinois ne sont pas encore arrivés là), nous avons pu découvrir une vie tibétaine assez authentique : des hommes des femmes et des enfants portant les habits traditionnels et tournant leurs moulins à prière suivant le Korta (chemin de pelerinage) ; architecture tibétaine ; un marché sur lequel les nouilles sont encore fabriquées devant les yeux des clients et où l’on peut entre autre acheter des cubes de sang. (voir photo sur flickr)... Tout cela aurait été mieux sans la pluie… !
China ist eine riesige Baustelle. Auf jeder Reiseetappe werden mehrere Stopps eingelegt, um beim Asphaltieren eines Strassenabschnitts, beim Graben von Entwässerungskanälen oder dem Ausgraben eines steckengebliebenen Lastwagens zuzuschauen… Auf der Fahrt nach Kanding kamen wir so in den Genuss von fünf Stunden Stau auf einer Strecke von nur 10 Kilometern. Dabei besonders spannend zu beobachten ist das Verhalten der Verkehrsteilnehmer. Alle versuchen möglichst weit nach vorne zu dringen und nehmen dafür die gesmamte Strassenbreite in Anspruch. Sind die Bauarbeiten einmal beedigt, stehst du noch ca. dreimal solange ratlos den in entgegengesetzter Richtung wartenden Autos gegenüber…
Am nächsten Tag ging es schon vor Tagesanbruch weiter Richtung Litang. Die Fahrt im Minibus führte durch menschenleere Hochebenen, entlang von Seen, durch Tannenwälder und vorbei an buddhistischen Klostern. Litang, ist eine symphatische tibetische Kleinstadt auf 4014 müm und gehört zur Region des Khams (Osttibet). Wie in Dao Cheng (unsere darauffolgende Etappe), gab es in diesem Ort keine grossen Sehenswürdigkeiten zu bestaunen. Dank ihrer Abgeschiedenheit (die Entwicklungsprogramme der chinesishen Regierung sind noch nicht bis hierher vorgestossen) konnten wir in diesen Städten ein recht authentisches tibetisches Leben entdecken: Männer, Frauen und Kinder, die in traditionellen Kleidern und die Gebetsmühle schwingend den Korta (Pilgerweg) begehen; Tibetische Architektur; Ein Markt auf welchem die Teigwaren noch direkt vor der Nase der Kunden hergestellt warden und wo es neben wahren Köstlichkeiten auch Blut-Würfel zu kaufen gibt (siehe Flickr)… Ohne Regen wäre alles noch viel schöner gewesen!
samedi 1 août 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
aimerais des détails sur la route menant de Daocheng au monastère de wang sde tga lden bdé tchan gling
Enregistrer un commentaire