Die Stadt war während der Kolonialzeit der bedeutendste Hafen in Südamerika. Hier wurden die von der lokalen Bevölkerung geplünderten Wertgegenstände gelagert ehe sie nach Europa verschifft wurden. Entsprechend häufig wurde die Stadt von Piraten angegriffen. Es blieb nichts anderes übrig, als die Stadt mit Stadtmauern und Burgen zu versehen und einen, der in den Hafen führenden Meerarme, zuzuschütten.
Über all die Jahre trotzten die Bewohner der Stadt erfolgreich den zahlreichen Attacken und im 1810 war die Zeit reif, auch die Kolonialherren in die Schranken zu weisen. Als eine der ersten Städte erklärte Cartagena seine Unabhängigkeit. Spanien liess sich dies jedoch vorerst nicht gefallen und erst nach elf Jahren bitterer Auseinandersetzungen gelang es - einmal mehr - Simon Bolivar „La ciudad Heroica“, die heroische Stadt, definitiv in die Unabhängigkeit zu befördern.
300 glorreiche Jahre zu Kolonialzeiten, machten die Stadt zum Kronjuwel Kolumbiens. Die Altstadt, die Burgen, die Stadtmauer und die Lage an der Karibik, machen die Stadt zum grössten Touritenmagneten Kolumbiens. Hier haben wir denn auch unsere seit Efesos nur in Ushuaia angetroffenen Traumschiff-Freunde wieder angetroffen. Noch nie wurde auf unserer Südamerika-Reise so offensichtlich, was im Reisefürhrer als „ménage à trois of Latin juxtaposition“ beschrieben wird:
Einerseits erobert der Charme der sorgfältig renovierten Bauten aus der Kolonialzeit die Herzen der Besucher. Andererseits ersticken die Bewohner der aus primitiven Wohnbaracken erbauten Vororte im Verkehrschaos. Und dann gibt es da auch noch die zahlreichen Luxusboutiquen, Trendrestaurants und Bars, die überall wie Pilze aus dem Boden schiessen. Grösser können die Gegensätze kaum noch werden.
La ville était à l’époque coloniale le port le plus important d’Amérique du Sud. Ici ont été stockés les objets de valeurs volés aux indigènes avant d’être rapatriés en Europe. La ville a par conséquent été la cible d’innombrables attaques de pirates. Il restait l’unique solution d’entourer la ville de plusieurs forts et de fermer un des bras de mer menant au port.
Les habitants ont défiés ces attaques avec succès pendant toutes ces années et en 1810 était venu le moment de défier leurs colonisateurs. Carthagène a été une des premières villes à déclarer l’indépendance. L’Espagne ne s’est cependant pas laissé faire et ça a été, une fois de plus, Simon Bolivar, qui après 11 ans de dispute féroce a définitivement permis à « la Ciudad Heroica », la ville héroïque, d’obtenir son indépendance.
Trois cent ans d’âge d’or pendant l’époque colonial ont fait de la ville le bijou de la colonie. La vieille ville, les forts, les murailles et la localisation au bord des caraïbes, font de la ville le plus grand aimant touristique de Colombie. C’est donc ici que nous avons à nouveau rencontré nos amis de «la croisière s’amuse» que nous n’avions recroisé qu’a Ushuaia depuis Ephèse. Jamais n’est devenu plus visible qu’ici depuis le début de notre périple sur le continent Latino-américain, ce que le guide de voyage décrit comme « ménage à trois of latin juxtaposition »:
D’un côté, le charme des constructions méticuleusement entretenues de la période coloniale gagnant indéniablement le cœur des visiteurs. De l’autre, les habitants des banlieues logeant dans des baraques primitives étouffant dans le chaos des transports. Enfin, les nombreuses boutiques de luxe, les restaurants et bar «fashion» qui poussant partout comme des champignons. Difficile de faire des contrastes plus importants.
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