mercredi 20 janvier 2010

Where am I - Chili

Solltest du eimal entführt und irgendwo auf diesem Erdball wieder freigelassen werden, kannst du anhand der nachfolgenden Checkliste feststellen, ob du in Chile bist:

- Ob du in Argentinien oder Chile bist, wirst du nicht so einfach sagen können.
- Ein paar sprachliche Unterschiede vielleicht: Adios heisst hier adios und das spanische „Doppel-L“ wird wieder eher als „i“ denn als „sch“ ausgesprochen.
- Chilenen mögen keine grauen Hauswände.
- Du wirst immer und überall die Cordillera de los Andes in der Nähe haben.
- Wenn du auf Blondinen oder blonde Männer stehtst, bist du hier fehl am Platz.
- Reisen ist ein Spektakel: In irgendeinem Kaff zur Stosszeit dem bunten Treiben auf einem Busbahnhof zuzuschauen, lässt dich fast bereuen ein Bähnler zu sein. Da fahren innerhalb von 15 Minuten ca. 20 Busse von unterschiedlichen Gesellschaften nach Santiago ab!
- In den Bussen wirst du fortlaufend über Geschwindigkeit, Namen des Fahrers und Fahrzeit informiert.

Si un jour tu devais être pris en otage et être lâché quelque part sur cette planète, la check-list suivante te permettra de savoir si tu es au Chili :

- Tu ne sauras pas facilement si tu es en Argentine ou au Chili
- Quelques différences linguistiques peuvent être : Adios est simplement adios et le double-L espagnol est de nouveau prononcé plutôt comme « y » que comme « ch »
- Les Chiliens n'aiment pas les murs gris
- La Cordillère des Andes t’accompagnera partout
- Si tu aimes les blondes ou les blonds, tu ne devrais pas venir au Chili
- Voyager est un spectacle : admirer dans un petit bled l’agitation d’un terminal de bus fait presque regretter à Matthias d’être cheminot, toutes les 15 minutes, 20 bus de compagnies différentes partent à destination de Santiago !
- Dans les bus tu es constamment informé sur la vitesse, le nom du conducteur et depuis combien de temps il est au volant

Nourriture Chilienne

Si vous avez une petite faim au Chili, rendez vous dans les nombreux petits kiosques de rue vendant des « completos », un hot dog version chilienne avec mayonnaise, avocat et ketchup ou un « humitas », une pate de maïs écrasé et servi dans une feuille de maïs.

Si vous avez une grosse faim, les plats « a lo pobre », sont à base de viande et accompagnés d’une montagne de frites et de deux œufs aux plats…autant dire que si vous finissez, la sieste est automatique. Comme en Argentine, la viande prend une grande place sur les menus, el « asado de cordero » nous a particulièrement plu, un méchoui d’agneau.

Pour le dessert, les chiliens semblent aimer des sucreries comme les beignets ou les éclairs au chocolat, les « Panaderias » et « Pastellerias » (boulangeries et pâtisseries) existent à chaque coin de rue.

Pour arroser tout cela, un petit Pisco sour ou une petite bière Escudo parfaira votre repas chilien. A toutes heures et partout, les chiliens, comme beaucoup de leurs voisins d’Amérique latine boivent le maté, une infusion parfois appelé thé du Paraguay, du Brésil ou des Jésuites, rituel important de leur culture.

Für den kleinen Hunger stehen in Chile unzählige kleine Kioske bereit, welche hauptsächlich „Completos“, den chilenischen Hot Dog mit Mayonnaise, Avocado und Ketchup anbieten. Als Alternative dazu gibts den „Humita“, eine Art Maispaste serviert in Maisblättern.

Für den grossen Hunger passt einfach alles, wo „a lo pobre“ drauf steht. „A lo pobre“ ist die Handwerkerspeise und bedeutet, dass das Fleisch mit einen Berg Pommes frites und Spiegeleiern serviert wird... wenn du ausisst verstehst du, warum in diesem Land die Siesta einfach ein Muss ist. Wie in Argentinien geht auch hier nichts ohne Fleisch. Einer unserer Favoriten war das „asado de cordero“, über dem offenen Feuer gegrilltes Lamm.

Ansonsten scheinen die Chilenen Süssigkeiten wie Berlinesas (Berliner) und Eclairs au Chocolat zu mögen. Panaderias und Pastelerias (Bäcker und Konditor) gibt an jeder Strassenecke.

Der Vollständigkeit halber gehört zu einem chilenischen Essen ein Pisco Sour oder ein Bier (z.B. Escudo). Ansonsten wird eigentlich den ganzen Tag über Mate getrunken. Die auch in Argentinien und anderen südamerikanischen Ländern verbreitete Tradition stammt ursprünglich aus Paraguay und soll neben dem Hydratieren noch ein paar weitere Effekte haben.

Salta - San Pedro de Atacama

Nachdem wir zum zweiten Mal auf unserer Reise am Busticket kaufen gescheitert waren(beide Male in Argentinien übrigens – beide Male waren für die nächsten zwei Wochen keine Plätze verfügbar), brachen wir im Gemeinschaftstaxi auf nach Chile. Die Reise kam so zwar etwas teuer zu stehen, bot jedoch den Vorteil, der spektakuläreren Route nach San Pedro de Atacama zu folgen.

Von Salta ging es durch unbeschreibbare Kaktus- und Mondlandschaften auf 4600 Meter hoch zum Paso Sico, und von dort entlang unzähliger Vulkane und Salzseen wieder runter auf 2200 Meter an den Rand der Wüste von Atacama.

Die Wüste von Atacama soll die trockenste überhaupt sein. Es fallen hier jährlich gerade mal 10 Millimeter Regen! San Pedro selber wird von den einheimischen „Gringoland“ (Touri-Land) genannt. Wir können nur bestätigen.

Wie so oft sind die ganzen Touristen aber nicht grundlos hier. Die Umgebung ist fantastisch. Highlights unseres Aufenthalts waren sicher die Ausflüge ins Valle de la Luna, zu den Geysiren el Tatio und die Beobachtung der Sterne bei einer Schar von Hobby-Astronomen!

Weniger touristisch aber nicht weniger interessant war der Besuch der weltweit grössten Kupfermine in Chuquicamata. Ausser 700 Tonnen schweren Trucks und einem grossen Loch gab es dort zwar eingentlich nicht viel zu sehen. Umso spannender ist es zu wissen, dass das Geschäft mit dem Kupfer zu 20% des chilenischen BIPs beiträgt.

Après le deuxième échec de notre voyage (les deux fois en Argentine) pour se procurer des tickets de bus, nous sommes finalement partis en taxis collectifs en direction du Chili. Le voyage a ainsi été un peu plus cher mais présentait l’avantage d’emprunter la route plus spectaculaire en direction de San Pedro de Atacama.

De Salta, nous avons traversé des paysages incroyables de cactus ou presque lunaires à d’autres endroits, pour atteindre le Paso Sico à 4600 d’altitude. De là nous sommes redescendus en longeant d’innombrables volcans et lacs salés jusqu’à 2200 mètres au bord du désert d’Atacama.

Le désert d’Atacama est dit être l’un des plus sec au monde, il n’a droit qu’à 10 millimètres de pluie par an ! La ville de San Pedro elle-même est appelé « gringoland » par les locaux. Nous ne pouvons que confirmer.

Comme souvent, tous ces touristes ne sont pas là par hasard, les alentours sont simplement fantastiques. Les highlights de notre séjour ont été notre excursion dans la Valle de la Luna, aux geysers el Tatio et l’observation des étoiles dans un observatoire d’astronome amateurs passionnés.

Un peu moins touristique mais pas moins intéressant était notre visite de la plus grande mine de cuivre du monde à Chuquicamata. Mis à part des camions de 700 tonnes et d’un grand trou de presque un kilomètre il n’y avait pas grand-chose à voir. C’est d’autant plus intéressant d’y apprendre que le cuivre est à l’origine de 20% du PIB chilien.

Where am I - Argentine

Solltest du eimal entführt und irgendwo auf diesem Erdball wieder freigelassen werden, kannst du anhand der nachfolgenden Checkliste feststellen, ob du in Argentien bist:

• Wenn du in den Genuss kommen solltest, von einem der meist nicht unattraktiven Argentiniern oder einer der meist auch nicht unbedingt unattraktiven Argentinierinnen abgeküsst zu werden, wirst du bitter enttäuscht. Es gibt nur ein Küsschen.
• Im Gegensatz zu Australien ist Telefonieren hier ein Kinderspiel. Die Locutorios (Telefonzentren) sind allgegenwärtig.
• Wie mit dem Telefon verhält es sich auch mit dem Internet. Wifi ist omnipräsent. Es gelingt sogar, sich vom Bus aus mit dem Netz eines Busterminals zu verbinden.
• Streunende Hunde (übrigens meistens ganz niedlich und anständig) gehören zum Ladschaftsbild
• Argentinien ist ein Einwanderungsland. Besonders gut vertreten sind die Italianos. Es heisst denn auch Ciao statt Adios.
• Reisen ist ein Luxus. Du hast die Wahl zwischen Bussen der Klasse Semi-Cama oder Cama (Halb-Bett oder Bett).
• Reisen kann ein Frust sein: Zum ersten Mal auf unserer Reise mussten wir Pläne ändern, weil einfach sämtliche Busse ausgebucht waren.
• Die Israelis stellen klar die grösste Touristengruppe
• Auch hier wächst die eine oder andere Blume, die man bei uns nicht so oft sieht.
• Alle paar hundert Meter steht ein Minitempel zu Ehren von Gauchito Gil (ein Volksheiliger, der zwar von der katholischen Kirche nie anerkannt wurde, aber Bestandteil der Volksfrömmigkeit vieler Argentinier ist) am Strassenrand.

Si un jour tu devais être pris en otage et être lâché quelque part sur cette planète, la check-list suivante te permettra de savoir si tu es en Argentine :

• Si tu devais avoir de la chance un jour de recevoir une bise d’un argentin (souvent pas moche du tout), tu vas être très déçu, ils n’en font qu’une !
• Au contraire de l’Australie passer un coup de fil est ici un jeu d’enfant. Les locutorios (centre d’appel) sont partout
• Idem pour internet, le wifi est omniprésent, on réussi même à se connecter, depuis le bus, au réseau du terminal !
• Les chiens errants (normalement assez mignons et bien élevés) font partis du paysage
• L’Argentine est un pays d’immigrants. Particulièrement nombreux sont les italiens. On dit donc Ciao au lieu d’Adios.
• Voyager est un luxe, tu as le choix entre les bus semi-cama ou cama (demi-lit ou lit)
• Voyager peut être frustrant : pour la première fois lors de notre voyage nous avons du changer nos plans car tous les bus étaient complets
• Les Israéliens forment clairement le groupe de touristes le plus important
• Ici également poussent des fleurs qu’on ne trouve pas forcément chez nous.
• Tous les cent mètres il y a un petit temple pour Gauchito Anito Gil (un saint local qui n’a jamais été reconnu par l’église mais qui est vénéré par la population) au bord de la route

Nourriture Argentine

Die Argentinier konkurrieren Australien nicht nur in Sachen Fleischproduktion, sondern auch in Sachen Fleischverzehr. Die Parrillada (Grillplatte) fehlt denn auch auf keiner Speisekarte. Für unsere zarten Mägen ist jedoch so einiges was auf der heissen Platte brutzelt ein wenig gewöhnungsbedürftig.

Weiter machen sich die italienischen Einflüsse auch in den Essgewohnheiten bemerkbar. Ñoquis (Gnogghi) und Spagehtti kommen auf der Liste der Lieblingsspeisen sicher unmittelbar nach der Parillada.

Die argentinische Antwort auf den Hamburger (erstaunlicherweise sind auch die ganzen Fast-Food-Läden hier kaum präsent) sind das Chorripan (Wurstbrot) und die Empanadas (mit Fleisch, Käse oder Gemüse gefüllte Teigtaschen).

Was die Nachspeisen anbelangt, dreht sich hier alles um Eis. Nicht selten gibt es in einer kleinen Strasse drei bis vier Heladerias (Eisdiele). Besonders zu erwähnen gibt es dabei die Wein-Glacen! Über Weihnachten macht der Panetone den Eisverkäufern das Leben schwer.

In weiten Teilen Argentinens ist es heiss oder trocken. Das gelbe Gold (Quilmes aus Buenos Aires ist der Marktführer, es gibt aber auch lokale Biere wie das Salta) wird meist in Literflaschen serviert. Um nicht weitere Unwahrheiten zu verbreiten (Malbec-Reben soll es auch in Frankreich geben) gehen wir hier nicht weiter auf den Wein ein. Er ist einfach gut.

Les argentins concurrencent l’Australie non seulement en ce qui concerne la production de viande mais également pour sa consommation. La Parillada (plat de différentes viandes grillées au feu de bois) ne manque sur aucun menu. Il faut cependant que nos estomacs d’habituent à pas mal de choses (tripes…).

Ensuite ce sont les influences italiennes qui se font ressentir partout. Dans les plats préférés, Gnokis et spaghettis suivent de près la Parillada.

La réponse argentine au hamburger (étonnamment les fast-foods sont très peu présents) sont le Chorripan (pain avec de la saucisse) et les Empanadas (pâte fourrée à la viande, au fromage ou aux légumes).

Pour le dessert, les glaces sont reines. Il n’est pas rare d’avoir trois à quatre « heladerias » (marchand de glace) dans une même rue. Il importe de mentionner qu’on peut trouver des glaces au vin! A noël, le Panetone complique la vie aux vendeurs de glace

Dans beaucoup d’endroits en Argentine, il fait chaud et sec. L’or jaune (Quilmes de Buenos Aires est le numéro un, il y a cependant beaucoup de bière locales comme la Salta) est servi dans des bouteilles d’un litre. Pour ne pas répandre plus de bêtises (le Malbec parait exister en France également) nous n’approfondirons pas davantage le sujet du vin, il est simplement délicieux.

Salta – Cafayate – Humahuaca

Salta im Nordwesten Argentiniens ist Tabak- und Gaucholand (Gaucho = Viehzüchter/Cowboy). Die Umgebung von Salta entsprach denn auch mehr den Vorstellungen, die wir vor unserer Reise von Argentinien hatten. Auch wenn der Grossteil der Rinderzuchten in der Provinz „La Pampa“, südöstlich von Buenos Aires liegen soll, so gab es hier doch auch die eine oder andere Fleischproduktion zu bestaunen. Die Stadt selber entzückt den Besucher mit zahlreichen Bauten aus der Kolonialzeit, schönen Plätzen und einer unglaublichen Lage inmitten einer knallgrünen Hügellandschaft.

Ein Bild über die Umgebung verschafft ihr euch einmal mehr am Besten via Flickr. Die Highlights waren sicher die unglaublichen Felsformationen der Quebrada (Schlucht) de Cafayate, die Quebrada de Humahuaca sowie Dörfchen wie Cafayate (hier kamen wir dann doch noch in den Genuss einer Weindegustation) und Tilcara.

Die Umgebung von Salta ist übrigens nicht nur landschaftlich eine andere Welt, sondern ruft einem auch in Erinnerung, dass in diesen Ländern nicht immer (fast) nur Europäer gelebt haben. Während man sich im Süden und im Zentrum Argentiniens oft schwer tut, Touristen von Einheimischen zu unterscheiden, fallen hier die paar Bleichgesichter inmitten der Mestizos (Mischlinge) sofort auf!

Au nord ouest de l’Argentine, Salta est le pays du tabac et des gauchos (gardiens des troupeaux). Bien que la majorité des élevages de bœufs se trouvent dans la province de la « Pampa » au sud-est de Buenos Aires, nous avons ici tout de même pu admirer quelques une de ces productions de viande. La ville elle-même émerveille le visiteur avec ses monuments coloniaux, de belles places et une localisation au milieu de collines. Les alentours de Salta correspondaient avec les images qu’on s’était fait de l’Argentine avant d’y arriver (allez voir sur flickr !).

Les points forts ont sans doute été les incroyables formations de rochers de la Quebrada de Cafayate, la Quebrada de Humahuaca ainsi que les villages de Cafayate (où nous avons finalement eu droit à une petite dégustation de Torrontes et de Malbec) et de Tilcara.

Les environs de Salta ne sont d’ailleurs pas différent qu’en terme de paysages mais rappellent aussi que dans ce pays il n’y a pas toujours eu (presque) que des européens. Alors que dans le sud et le centre de l’Argentine, il est souvent difficile de distinguer touristes des locaux, les quelques peaux blanches sont ici immédiatement repérées dans la foule de mestizos (métis) et d’indigènes !

jeudi 7 janvier 2010

Mendoza

Zum dritten Mal in Argentinien! Dies hängt sicher damit zusammen, dass es uns hier so gut gefällt, erklärt sich aber auch damit, dass Teile Chiles auf dem Landweg nur über Argentinien erreichbar sind. Puerto Natales (bei den Cerro Torres) zum Beispiel ist Teil Insel-Chiles und kann aus Chile nur per Schiff von einem Hafen in der Nähe Santiagos erreicht werden!

Die Weinkenner unter euch werden sicher langsam denken, dass wir eine Degustations-Weltreise machen. Stimmt nicht, weder den Weinproduzenten von Curicó noch denen von Santiago haben wir einen Besuch abgestattet und in Mendoza haben wir nicht einmal eine Flasche Wein geöffnet. Schon fast eine Schande eigentlich. Hier werden immerhin 70% des argentinischen Weins hergestellt und der ist alles andere als ungeniessbar! Speziell zu erwähnen gibt es hier den Malbec, eine nur in Argentinien kutivierte Rebenart.

Für die Blaukreuzler unter uns: Mendoza ist eine super Stadt! Wir haben auf unserer Reise noch nie so viel Grün gesehen. Die Bäume überdecken buchstäblich die ganzen Strassen im Zentrum. Nicht unangenehm bei sommerlichen 30°C. Ein weiterer Trumpf der Stadt ist sicher die Sicht auf die „Vor-Anden“.

Pour la troisième fois en Argentine ! Ceci est certainement lié au fait que nous adorons mais c’est aussi car certaines parties du Chili ne peuvent être atteintes que par voie terrestre en passant par l’Argentine. Puerto Natales (à côté des Cerro Torres) fait par exemple partie du Chili des îles et l’on peut s’y rendre depuis le Chili uniquement en empruntant un bateau partant près de Santiago !

Les connaisseurs de vin entre vous doivent gentiment se dire que nous sommes en train de faire le tour du monde de la dégustation. Ce n’est même pas le cas, nous n’avons vu que de loin les vignobles de Santiago et de Curicó et n’avons même pas ouvert une bouteille à Mendoza. C’est tout de même étonnant sachant que la région produit 70% des vins du pays et qu’il est tout sauf mauvais (mais oui, nous avons eu l’occasion d’en tester à d’autres occasions !). Une des spécialités du coin est d’ailleurs le merveilleux Malbec, un cépage qui n’existe nul part ailleurs.

Pour les adeptes des alcooliques anonymes, Mendoza est aussi une ville magnifique. Nous n’avons jamais vu sur notre parcours d’endroit aussi vert – les arbres couvrent littéralement la totalité des rues – ce qui est plutôt agréable par une température de 35°. Un autre atout est également la proximité et la vue sur les pré-andes.

mercredi 6 janvier 2010

Valparaiso

Valparaiso war einst einer der wichtigsten Häfen für die über das Kap-Horn und die Pazifik-Routen verkehrenden Frachtschiffe. Von dieser Blütezeit zeugt eine sogar für Chile aussergewöhnliche Dichte an Kirchen, Statuen und Plätzen.

Der Anfang vom Ende kam mit einem grossen Erdbeben im 1904 und der Eröffnung des Panamakanals im 1914.

Die Stadt ist aber auch heute noch Chiles Kulturhauptstadt. Die buchstäblich an den zahlreichen Hügeln “klebenden” Häuser aus Holz und Wellblech in allen Farben, die in die verschiedenen Quartiere führenden und nicht immer nur Vertrauen einflössenden Lifte sowie die unzähligen Wandbilder machen “Valpo” sicher zu einem Muss eines Chile-Aufenthalts.

Il fut un temps où Valparaiso était un des ports les plus importants pour les cargos, sur les routes du Cap Horn et du Pacifique. Témoignage de cette période de gloire, une densité exceptionnelle, même pour le Chili, d’églises, de statues et de places.

Le début de la fin a sonné avec un grand tremblement de terre en 1904 et l’ouverture du canal de Panama en 1914.

La ville est aujourd’hui toujours la capitale culturelle du Chili. Les maisons colorées, souvent en bois et en tôles et collés à flan de collines, les ascenseurs menant aux différents quartiers et n’inspirant pas que confiance ainsi que les innombrables peintures murales font de “Valpo” une destination incontournable lors d’un voyage au Chili.

Santiago du Chili

Santiago de Chile – gemäss Reiseführer “the least intimidating of all South American capitals” – war unsere nächste Station auf dem Weg in den Norden.

Ob die Aussage stimmt, können wir natürlich nicht beurteilen. Wir waren bisher ja erst in Buenos Aires. Es lässt sich aber nicht abstreiten, dass die chilenische Hauptstadt auf den ersten Blick europäischer wirkt als ihr argentinisches Pendant. Dies hängt aber vielleicht auch damit zusammen, dass wir uns über die Festtage dort aufhielten und deshalb nicht in den gesamten Grossstadt-Rummel-Genuss kamen.

Mit dem verhältnismässig grünen Zentrum, den Anden im Hintergrund, dem recht heimelig wirkenden Stadtteil “Barrio Brasil”, einem guten ÖV-Netz und genügend Parks um überall ein kühles Plätzchen am Schatten zu finden, ist dieser 5-Millionen-Moloch sicher alles andere als unattraktiv !

Santiago de Chile – d’après notre guide est “the least intimidating of all South American capitals” – était l’étape suivante sur la route du nord.

Si cette affirmation est juste nous ne sommes pas en mesure de le dire, nous n’avons pour l’instant vu que Buenos Aires. Il est cependant difficile de nier que la capitale chilienne semble au premier abord plus européenne que son pendant argentin. Ceci est cependant peut être également lié au fait que nous y étions pendant les fêtes de fin d’année et que nous n’avons donc pas eu droit au chaos d’une grande ville.

Avec le centre plutôt vert, les Andes en arrière plan, le quartier “Barrio Brasil” plutôt cosi, un système de transport public efficace et pleins de parcs permettant d’échapper à la chaleur, cette ville de 5 millions d’habitants est tout sauf inattractive!

El Calafate – Bariloche

Eine weitere lange Busreise mit der erneuten Möglichkeit, sich ein Bild der Grösse und Vielfältigkeit Argentiniens zu verschaffen, führte uns nach Barriloche.

Die Fahrt führte durch das patagonische Niemandsland – Busch und Schafe (Argentinien reiht sich mit Neuseeland und Australien in die Reihe der grossen Schaffleisch-Produzenten ein) – entlang der unglaublichen Cordillera de los Andes (8000 kM von Venezuela bis nach Feuerland) in die grüne Seen-Region Argentiniens. Eigentlich ist es ja nicht erstaunlich, dass es in einem so grossen Land so riesige landschaftliche Unterschiede gibt – wir sind aber immer noch jedes Mal paff!

Bariloche ist bekannt für den Nationalpark Nahuel Huapi, für seine Lage am gleichnamigen See und die fantastischen Berge der Umgebung. Wir hatten verschiedentlich gehört, dass es dort sei wie in der Schweiz. Das hat was, ganz so schön ist es aber natürlich schon nicht ;-) Wenigstens hat’s dann, wie es sich für die Schweiz an einem Altjahrstag gehört, ordentlich geregnet. Der Ausflug in den Nationalpark war deshalb ein Flop. Machte aber nichts, man kann ja an Silvester ausnahmsweise auch schon mal ein bisschen früher ins Apéro…

Un autre long voyage avec une autre opportunité de se faire une image de la taille et de la variété de l’Argentine et du Chili nous a amené à Bariloche.

Le voyage à travers le no man’s land Patagonien – buissons et moutons (l’argentine se bat avec la Nouvelle-Zélande et l’Australie pour savoir quel est le plus grand producteur de viande de mouton) – le long de la Cordillères des Andes (8000 km du Venezuela jusqu’à la Terre de Feu) à la région des lacs argentins. En principe, il n’est pas bien étonnant qu’un pays si grand, présente tant de diversité, mais nous n’en revenons pas à chaque fois quand même!

Bariloche est connu pour son parc national Manuel Huapi, son emplacement au bord du lac du même nom ainsi que les montagnes fantastiques l’entourant. Différentes personnes nous avaient dit que c’était un petit peu comme la Suisse. Ce n’est pas faux mais ça n’est quand même pas aussi beau ;-) Au moins, comme il se doit pour une journée de fin d’année Suisse, il a plu. L’excursion au parc national a donc été un flop. Ca n’a pas trop dérangé le jour du nouvel an, on peut exceptionnellement attaquer l’apéro un peu plus tôt…