Von Salta ging es durch unbeschreibbare Kaktus- und Mondlandschaften auf 4600 Meter hoch zum Paso Sico, und von dort entlang unzähliger Vulkane und Salzseen wieder runter auf 2200 Meter an den Rand der Wüste von Atacama.
Die Wüste von Atacama soll die trockenste überhaupt sein. Es fallen hier jährlich gerade mal 10 Millimeter Regen! San Pedro selber wird von den einheimischen „Gringoland“ (Touri-Land) genannt. Wir können nur bestätigen.
Wie so oft sind die ganzen Touristen aber nicht grundlos hier. Die Umgebung ist fantastisch. Highlights unseres Aufenthalts waren sicher die Ausflüge ins Valle de la Luna, zu den Geysiren el Tatio und die Beobachtung der Sterne bei einer Schar von Hobby-Astronomen!
Weniger touristisch aber nicht weniger interessant war der Besuch der weltweit grössten Kupfermine in Chuquicamata. Ausser 700 Tonnen schweren Trucks und einem grossen Loch gab es dort zwar eingentlich nicht viel zu sehen. Umso spannender ist es zu wissen, dass das Geschäft mit dem Kupfer zu 20% des chilenischen BIPs beiträgt.
De Salta, nous avons traversé des paysages incroyables de cactus ou presque lunaires à d’autres endroits, pour atteindre le Paso Sico à 4600 d’altitude. De là nous sommes redescendus en longeant d’innombrables volcans et lacs salés jusqu’à 2200 mètres au bord du désert d’Atacama.
Le désert d’Atacama est dit être l’un des plus sec au monde, il n’a droit qu’à 10 millimètres de pluie par an ! La ville de San Pedro elle-même est appelé « gringoland » par les locaux. Nous ne pouvons que confirmer.
Comme souvent, tous ces touristes ne sont pas là par hasard, les alentours sont simplement fantastiques. Les highlights de notre séjour ont été notre excursion dans la Valle de la Luna, aux geysers el Tatio et l’observation des étoiles dans un observatoire d’astronome amateurs passionnés.
Un peu moins touristique mais pas moins intéressant était notre visite de la plus grande mine de cuivre du monde à Chuquicamata. Mis à part des camions de 700 tonnes et d’un grand trou de presque un kilomètre il n’y avait pas grand-chose à voir. C’est d’autant plus intéressant d’y apprendre que le cuivre est à l’origine de 20% du PIB chilien.
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