lundi 28 décembre 2009

El Chalten - Cerro Torre et Fitz Roy

Nach vier Tagen wandern in Chile fühlten wir uns natürlich schon fast ein wenig wie die Extrembergsteiger und entschieden deshalb, auch vor den argentinischen Aushängeschildern für Profialpinismus – Cerro Torre und Fitz Roy – nicht Halt zu machen. Aufbruch also nach El Chalten, drei Busstunden nordwestlich von El Calafate.

Die Lust am Wandern wurde dann am frühen Morgen allerdings schon beim Öffnen der Hostel-Türe ein wenig gedämpft. Mann, ist es hier kalt und windig! Noch einmal rein, einen weiteren Tee schlürfen und einen weiteren Pulli einpacken – die wahren Profis halt :-)

Am ersten Tag wurden wir für unseren Exploit dann aber ein weiteres Mal belohnt. In Patagonien, wo das Wetter per Definition einfach schlecht ist, die unteren zwei Drittel des Cerro Torre zu sehen ist doch schon mal etwas und auch den Fitz Roy konnten wir aus einiger Entfernung schon einmal bestaunen. Die zweite Expedition am nächsten Tag viel dann jedoch sozusagen in den Schnee. Wir entschieden uns deshalb für eine abgekürzte Variante und “kletterten” nur bis zum ersten Mirador (Aussichtspunkt). Auch dieser Ausflug hat sich aber gelohnt – mit viel gutem Willen kann man auf den Fotos tatsächlich den Fitz Roy erkennen!

Am Tag unserer Abreise kamen wir dann doch noch in den Genuss stahlklaren Himmels - ein Panorama das seinesgleichen Sucht!

Après quatre jours de randonnée au Chili, nous nous sentions bien évidement comme des pros de la montagne et nous avons décidé de ne pas reculer devant la vitrine de l’alpinisme extrême argentin que forment le Cerro Torre et le Fitz roy. Départ donc pour El Chaltén trois heures au nord d’El Calafate.

L’envie de marcher était cependant déjà diminuée lors de l’ouverture de la porte de notre hostel le lendemain matin. Putain qu’il fait froid… et le vent ! Retour à l’intérieur pour reboire un petit thé et prendre un deuxième pull – les vrais pros quoi !

Le premier jour nous avons une fois de plus été bien récompensés pour notre exploit. En Patagonie où le temps est mauvais par définition, pouvoir voir les deux tiers du Cerro Torre et d’apercevoir le Fitz Roy de loin est déjà pas si mal. L’expédition du jour suivant est en revanche, pour ainsi dire tombée dans la neige. Nous nous sommes donc décidés pour une variante raccourcie et nous avons grimpé uniquement jusqu’au premier mirador. Cette excursion valait toutefois également le coup – avec beaucoup de volonté, on peut effectivement apercevoir le Fitz Roy sur nos photos!

Le jour du départ nous avons finalement quand même eu droit à un ciel bleu et un panaroma sans équivalent!

El Calafate - Parque Nacional de los Glacieres

Après une fête de Noël bien arrosée et rythmée par les feux d’artifices, nous avons rejoint depuis El Calafate le « Parque Nacional de los Glacieres » où se situe le Perito Moreno, célèbre glacier de la Patagonie Argentine.

Pouvoir admirer cette mer de glace et son activité de tout près était pour nous une autre expérience quasiment indescriptible. Le glacier fait parti du « Campo de Hielo Sur », une énorme région de glace continentale (de 350 km de long et d’une surface d’environ 16800 km2). Le glacier en lui-même mesure 60 kilomètres de long et la langue qui se jette dans le lago Argentino est de 5 km de large. La masse de glace avance d’environ un mètre par jour. Des énormes bouts de glace tombent régulièrement dans le lac avec un bruit de tonnerre, encore une fois un moment qui restera gravé dans nos mémoires.

Nach einem feuchtfröhlichen und durch verschiedene Feuerwerke animierten Weihnachtsfest in El Calafate am Ufer des Lago Argentino, stand am nächsten Tag die Besichtigung des «Parque Nacional de los Glacieres» und insbesondere des Gletschers «Perito Moreno» auf dem Programm.

Dieses Eismeer und dessen Aktivität aus nächster Nähe zu bestaunen war für uns ein weiteres, fast unbeschreibbares Erlebnis. Der Gletscher ist Teil des des «Campo de Hielo Sur», einem riesigen kontinentalen Gletschergebiet (dieses hat eine Länge von rund 350 km und eine Fläche von ungefähr 16.800 km²). Der eigentliche Gletscher ist rund 60 Kilometer lang und die in den Lago Argentino mündende Gletscherzunge ist gut 5 Kilometer breit. Die Eismasse schiebt sich pro Tag etwa einen Meter vorwärts. Regelmässig brechen riesige Eisbrocken ab und krachen 60 Meter weiter unten in den See. Ein unglaubliches Spektakel!

samedi 26 décembre 2009

Parque Nacional Torres del Paine

Die Torres del Paine – sicherlich eines der Bilder, das am meisten Südamerika-Fernweh weckt und das Herz jedes Naturliebhabers und Bergfreunds schneller schlagen lässt...

Eine der Besonderheiten der Landschaft hier ist sicher die Stratifizierung der Berge. Oben die schwarzen Sedimentgesteine und unten der graue Granit. Besonders sind aber auch die Farbe der Gletscherseen, die Flora (der chilenische Feurebusch färbt stellenweise die ganze Landschaft rot), die Fauna (wer wird nicht schwach beim Anblick eines Kondors), das im ganzen Park direkt aus den Bächen getrunkene Wasser und das Wetter. Innerhalb eines Tages erlebst du alles, von Sonnenschein über Regen bis hin zum Schneesturm.

Wir erkundigten den Park zu Fuss und mit dem Zelt auf dem Rücken und kamen schon während den ersten drei Tagen kaum mehr aus dem Staunen. Am letzten Morgen die Torres bei Sonnenaufgang und wolkenlosem Himmel bestaunen zu können, dass war dann aber doch schon fast zu viel der Emotionen. Pachamama (für die Völker der Anden die als Göttin verehrte, personifizierte Mutter Erde) von Ihrer schönsten Seite!

Bei all der Begeisterung für den Nationalpark haben wir jetzt beinahe vergessen, dass wir auf dem Weg hierhin auch noch die eine oder andere gemütliche Stadt besucht haben. Während die einen einen kurzen Abstecher nach Santiago machten, genossen die anderen das ruhige Leben in Punta Arenas an der Magellanstrasse. Ausganspunkt für die Torres del Paine bildete Puerto Natales, ein zwar touristisches, aber dennoch irgendwie gemütliches Dörfchen – in the middle of nowhere halt!

Les Torres del Paine, certainement une des images d’Amérique latine qui fait le plus rêver et qui fait battre plus rapidement le cœur de tout amateur de montagne et d’amis de la nature.

Une particularité des montagnes ici est certainement leur stratification. En haut, les sédiments noirs et en bas le granit gris. Particuliers sont cependant également la couleur des lacs de glacier, la flore (le buisson de feu colore par endroit tout le paysage en rouge), la faune (qui ne faiblit pas à la vue d’un condor), l’eau qui se boit partout directement à la rivière et sans oublier la météo. En l’espace d’un jour, tu auras droit à tout, du soleil en passant par la pluie jusqu’à la tempête de neige.

Nous sommes partis à la découverte à pied, la tente sur le dos et avons déjà été émerveillés pendant les trois premiers jours. De pouvoir admirer le dernier jour, les Torres au lever de soleil et sans nuage, était finalement presque trop d’émotion. Pachamama (Terre-Mère, la déesse-terre dans la religion des Amérindiens d'Amérique du Sud) sous son meilleur jour!

Avec toute cette fascination pour le parc national nous avons failli oublier que nous avons sur le chemin également visité quelques villes plutôt sympathiques. Pendant que l’un faisait un petit détour par Santiago du Chili, l’autre profitait de la vie calme à Punta Arenas au bord du détroit de Magellan. Par la suite à Puerto Natales, le point de départ pour les Torres del Paine, une ville évidement touristique mais tout de même bien cosi – au milieu de nulle part.

Rio Gallegos - Ushuaia : El fin del Mundo

Les deux fois dix neuf heures de bus de Puerto Madryn à Rio Gallegos puis à Ushuaia nous ont données un petit aperçu de ce qu’est la Patagonie. Un paysage nous rappelant parfois notre expérience « Nullarbor Plain » australienne, des immensités quasiment désertes, du bush, du bush et encore du bush. Les Guanacos (sorte de lama local) et les nandous (oiseaux ressemblant aux autruches) nous ont cependant sans cesse rappelés que nous étions bien en Argentine !

Changement de décor en traversant le détroit de Magellan (passage maritime traversé par Ferdinand Magellan en 1520 alors qu’il voulait rejoindre l’Indonésie par l’ouest) en entrant dans la Tierra del Fuego : Arrivée des arbres tout d’abord, suivi des montagnes enneigées et des cours d’eaux dans lesquels tout le monde pêche, encore quelques virages et nous voilà à Ushuaia !!

Ushuaia, ville de 61000 habitants al fin del mundo où la lumière est pour nous du jamais vu et où le soleil se couche à 23 h. Si ce n’était pour les bateaux d’expédition pour l’Antarctique (nous sommes à 1000 km de l’Antarctique et à 3000 kilomètres du Pôle Sud), nous aurions cependant eu de la peine à croire que nous nous trouvions à la fin du monde. La vie y est moderne, on peut tout y trouver, des magasins d’informatique aux concessionnaires automobiles.

Un des points fort de notre visite a surement été la randonnée dans le « Parque Nacional Tierra del Fuego » qui s’étend de la frontière chilienne au canal de Beagle.

Zweimal 19 Stunden Bus von Puerto Madryn nach Rio Gallegos und dann weiter nach Ushuaia waren gerade richtig um einen ersten Eindruck von Patagonien zu erhalten. Landschaften, die uns stellenweise an unser “Nullarbor-Erlebnis” in Australien erinnerten, Busch, Busch und noch einmal Busch. Die unzähligen Guanacos (Familie der Kamele und den Lamas gleichend) und Nandus (straussähnliche Vögel) machten aber klar, dass Argentinien und nicht Australien an uns vorbeirauschte.

Szenenwechsel dann beim Überqueren der Magellan-Strasse (1520 von Ferdinand Magellan entdeckte Seestrasse – eigentlich wollte er ja nach Indonesien…) und der Ankunft in Tierra del Fuego, Feureland. Nach den Wäldern tauchten die Schneeberge, Bergseen und die zum Landschaftsbild gehörenden Fischer auf, noch ein paar Kurven und schon waren wir in Ushuaia angelangt!

Ushuaia, eine Stadt mit 61000 Einwohnern am Fin del Mundo, mit uns bisher unbekanntem Licht und Sonnenuntergängen um 23 Uhr. Wären da nicht die Antarktis-Expeditions-Schiffe (es sind 1000 Km bis zur Antarktis und 3000 Km bis zum Südpol) hätten wir allerdings nicht wirklich geglaubt, am Ende der Welt angelangt zu sein. Es gibt auch hier alles, vom Informatik-Geschäft bis zum Autohändler.

Eines der Highlights unseres Aufenthalts hier war sicher die Wanderung durch den «Parque Nacional Tierra del Fuego», welcher sich von der chilenischen Grenze bis an den Beagle-Kanal erstreckt.

Puerto Madryn, Punta Tombo, Peninsula Valdes

Les environs de Puerto Madryn, situés à 19 heures de bus de Buenos Aires sur la côte Atlantique, est le point de chute d’un nombre incroyable d’animaux sauvages qui émigrent notamment vers la Punta Tombo et la Peninsula Valdes.

La Punta Tombo est le refuge de plus d’un demi-million de pingouins Magellan lors de leur période de ponte. Imaginez vous marcher au milieu de ce demi-million, les uns nourrissant leurs petits, les autres allant pêcher leur repas ou prenant un bain de soleil !

La Peninsula Valdes est un parc protégé abritant phoques, éléphants de mer, dauphins Toninas (noir et blanc) pingouins et…baleines ! Non seulement nous avons pu admirer toute cette faune mais, à bord d’un bateau, une baleine particulièrement de bonne humeur nous a fait sept sauts juste devant les yeux… j’en ai encore des frissons !!!

Die Umgebung von Puerto Madryn, 19 Bus-Stunden südlich von Buenos Aires an der Atlantik-Küste, ist Paradies für Tier-Liebhaber.

Die Punta Tombo beherbergt die grösste Pinguin-Kolonie ausserhalb der Antarktis. Während der Brütezeit tummeln sich hier über eine halbe Million Magellan-Pinguine! Im Park befindest du dich inmitten dieses ganzen Spektakels und kannst die Tiere aus nächster Nähe beim Füttern der Babys, beim “Sünnelen” oder Fischen beobachten.

Ein weiterer Ausflug führte uns auf die Peninsula Valdes, das Zuhause von unzähligen Seehunden, Seelöwen, Seeelefanten, Toninas (schwarz-weisse Delfine), Pinguinen und… Wahlen. Wir hatten nicht nur das Glück, all diese Tiere auch wirklich aus nächster Nähe beobachten zu können sondern bekamen von einem speziell gut gelaunten Wahl auch noch eine Vorführung in Sachen Sprungtechnik. Sieben Sprünge rund um unser Boot – das gibt Hühnerhaut!!!

mardi 15 décembre 2009

Sydney – Auckland – Buenos Aires


Nach einem zweistündigen Aufenthalt in Auckland brachen wir auf, den Pazifik zu überqueren und um nach einem elfstündigen Flug zwei Stunden vor dem Abflug wieder zu landen. Der erhoffte Verjüngungseffekt blieb jedoch aus. 10 Stunden Zeitverschiebung in einem halben Tag reisen setzen einem ganz schön zu…

Die Müdigkeit tat dem Buenos Aires-Erlebnis aber keinen Abbruch. Wenn am Morgen beim Frühstück schon die Tango-Musik durch das Bistro dröhnt und die Leute durch die Strassen Tanzen, ist Müdigkeit auch definitiv fehl am Platz. Am Wochenendmarkt rund um die Plaza Dorrego , im farbenfrohen Stadteil “La Boca”, beim Überqueren der Avenida 9 de Julio – la avenida más ancha del mundo (die breiteste Allee der Welt) und beim Busticket kaufen im Retiro, dem dreistöckigen Busbahnhof von Buenos Aires kannst du nicht anders, als plötzlich trotz Müdigkeit wieder hellwach zu sein! Bienvenidos en Argentina!

Après un arrêt de deux heures à Aukland, nous sommes partis pour traverser le Pacifique et atterrir après onze heures de vol, deux heures avant l’heure de notre décollage. L’effet de rajeunissement souhaité ne s’est malheureusement pas manifesté. Dix heures de décalage horaire en une demi-journée ont été difficilement digérables…

La fatigue n’a cependant nullement entamé l’expérience Buenos Aires. Quand le matin au petit déjeuner, il y a déjà du tango dans les haut-parleurs et que les gens dansent dans la rue, la fatigue n’a vraiment plus lieu d’être. Au marché du dimanche sur la place Dorrego, dans le quartier coloré de la Boca, en traversant l’Avenida 9 de Julio – « la Avenida mas ancha del mundo » (l’avenue la plus large au monde) et en achetant des billets de bus à la «Estacion de Omnibus de Buenos Aires » tu ne peux pas faire autrement qu’être pleinement réveillé ! Bienvenidos en Argentina !

Where am I - Australie

Si un jour tu devais être pris en otage et être lâché quelque part sur cette planète, la check-list suivante te permettra de savoir si tu es en Australie :

• Tout le monde te parle (que ce soit quand tu es en train de prendre ta douche ou plus naturellement au barbecue)
• Apres 5 min tu sais tout sur une personne, après 10min tu n’en sais pas plus
• Ce ne sont pas les serpents ou les Red Back que tu crains le plus mais les mouches !
• Tu vois des milliers de plages et presque à chaque fois tu as l’impression que c’est la plus belle et la plus déserte que tu ais jamais vu de ta vie
• Il y a autant de golfs que de panneaux de restriction d’eau pour cause de pénurie
• Dans les lieux les plus perdus tout le monde te dis bonjour au volant
• Tu peux acheter des « breakfast pack » contenant trois saucisses et un steak
• Tout est interdit et les panneaux sont assez clairement formulés
• Chaque champ a un moulin permettant de puiser de l’eau
• Tout le monde ajoute un petit « Cheers mate » à la fin de ses phrases
• Il y a presque autant d’ours polaires que de piétons
• Même sur la plage il faut faire attention à ne pas te faire écraser par les voitures
• Le prix de l'essence varie de 1,09 à 1,72 dollars (et nous n’avons même pas été jusqu’au «red centre»)
• Les australiens récupèrent l’eau de pluie sur leur toit et la boive
• Les moyens de communication modernes ne sont pas de ce monde. Essaye de trouver une prise ou de te faire appeler et tu comprendras
• C’est le pays idéal pour le camping: des douches, des toilettes et des barbecues sont à ta disposition partout et sont nickels
• Les hobbies préférés des australiens sont le bowling et le cricket, ils sont tous les soirs et le week-end en uniforme sur le terrain
• Le vélo sur l autoroute c’est possible !
• Tous les australiens viennent faire les courses avec des sacs pour ne pas utiliser ceux des supermarchés

Solltest du eimal entführt und irgendwo auf diesem Erdball wieder freigelassen werden, kannst du anhand der nachfolgenden Checkliste feststellen, ob du in Australien bist:

• Jeder und jede spricht mit dir (egal ob du gerade unter der Dusche oder vor deinem Barbecue stehst)
• Nach fünf Minuten weisst du alless über deinen Gesprächspartner, nach zehn Minuten weisst du nicht unbedingt mehr
• Nicht die Schlangen und die “Red Back” (tödliche Spinne) machen dir das Leben schwer. Am meisten zu schaffen machen dir hier die Fliegen.
• Du siehst hier tausende Strände und fast jedes Mal hast du den Eindruck, dich gerade am Schönsten und am Menschenleersten zu befinden
• Es gibt in etwa gleich viele Schilder mit dem Hinweis auf Wasserknappheit wie Golfplätze
• In abgelegeneren Gegenden wird jedes entgegenkommende Fahrzeug gegrüsst
• Das in den Supermärkten angebotene “breakfast pack” besteht aus drei Würsten und einem Steak
• In Australien ist so ziemlich alles verboten und die Verbotsschilder sind meist recht eindeutig formliert
• Auf jedem Feld steht ein Windrad zur Wasserförderung
• Keine Aussage ohne ein “Cheers Mate” am Ende
• Es gibt in etwa gleich viele Eisbären wie Fussgänger
• Sogar am Strand musst du aufpassen, nicht von einem Pick-Up überfahren zu werden
• Die Benzinpreise variieren zwischen 1,09 und 1,72 Dollars (und dabei waren wir nicht einmal im Red Center)
• Regenwasser ist in Australien gleich Trinkwasser (das blaue Gold fliesst vom Dach direkt in entsprechende Reservoire)
• Moderne Kommunikationsmittel scheinen nicht von dieser Welt zu sein (einen Anruf zu empfangen oder eine Steckdose zu finden ist fast ein Ding der Unmöglichkeit)
• Australien ist definitiv ein Land zum Campen: Die zur Verfügung stehenden Duschen und Toiletten sind einfach top!
• Ein richtiger Australier schlüpft am Abend und am Wochenende in seine Uniform und begibt sich auf den nächsten Bowling- oder Cricket-Platz
• Velofahren auf der Autobahn – das geht hier!
• Einweg-Einkauftaschen sind verpönt – die Einkäufe gehören in die mitgebrachte Stoff-Tragtasche

Nourriture Australienne

Il va être difficile pour nous d’avoir un réel point de vue objectif sur la nourriture Australienne étant donné que nous avons essentiellement fait nous même nos repas. Nous allons cependant vous décrire ce que nous avons pu observer mais également les produits que nous avons pu cuisiner :

En Australie, la viande est la reine de chaque repas. L’immensité du continent permet l’élevage de milliers de bêtes que l’on retrouve bien appétissantes dans les étales des magasins : bœuf, agneau, porc…la difficulté est uniquement dans le choix ! Pour la cuisson, les australiens sont accros aux barbecues (et nous le sommes devenus !), qu’il vente ou qu’il pleuve, les barbecues publics, placés dans les villes ou en bord de mer à disposition, sont pris d’assaut.

Immédiatement après le barbecue viennent les fast-foods, à partir de 3000 habitants il y a toujours Mc do, HungryJacks (Burger King), Subway, Red Rooster,…

En ville, nous avons également senti que les différentes vagues d’immigration, ont chacune apportées leur spécialité et que la société multiculturelle est apparente partout au niveau culinaire : restaurant indonésiens, koréens, japonais, chinois, italiens…presque toute la planète y est représentée.

En ce qui concerne les boissons, bien sûr nous avons été déguster les vins de Margaret River, de la Barrossa Valley ou de la Hunter Valley, qui n’ont rien à envier aux vins européens, mais la bière semble tout de même être la boisson nationale.

Da wir in Australien meistens selber gekocht haben, ist es schwierig, ein Bild der australischen Essenskultur wiederzugeben. Nachfolgend eine kleine Beschreibung dessen, was wir gesehen und in unsere Pfanne bzw. auf unseren Grill gehaut haben :

In Australien ist das Fleisch der König. Die Fahrt durch das Land führt nicht selten an riesigen Viehzuchten vorbei. Entsprechend gross ist das Angebot an Rind, Lamm und Schwein auch im Supermarkt… Es bleibt eigentlich nur die Qual der Wahl! Für die Zubereitung schmeisst ein richtiger Australier seinen Grill an. Egal ob es regent oder stürmt, die öffentlichen Barbecue-Stellen in den Parks und an den Stränden sind immer gut besetzt.

Dicht gefolgt vom Barbecue kommt der Fast Food. Ab 3000 Einwohnern gibts McDo, HungryJacks (Burger King), Subway, Red Rooster, …

Weiter gilt es sicher den australischen Multikulturalismus zu erwähnen. In den Städten reihen sich indonesishe, koreanische, japanische, chinesische, italienische,… Restaurants aneinander. Fast die ganze Welt scheint hier zu sein.

Was die Getränke betrifft, hatten wir selbstverständlich die Gelegenheit, die verschiedenen Weine aus Regionen wie Margeret River, Barrossa Valley oder Hunter Valley zu testen. Obwohl, diese Weine den europäischen Tropfen in nichts nachzustehen scheinen, macht in Australien wohl doch eher das Bier das Rennen.

Hunter Valley, Port Stephens et les Blue Mountains

Um den daheimgebliebenen bösen Zungen zu zeigen, dass man auch in unserem hohen Alter gemütliches Zusammensein und Unternehmenslustigkeit noch voll und ganz unter einen Hut bringen kann, klapperten wir in unserem Vehikel auch noch die Sehenswürdigkeiten der Umgebung ab…

Im Hunter Valley kamen wir nach sechs Wochen Australien endlich in den Genuss einer Weindegustation, in den Blue Mountains versetzte uns die Natur ein weiteres Mal ins Staunen und in Port Stephens namen wir Abschied vom so lieb gewonnen Pazifik…

Pour montrer aux mauvaises langues restées à la maison que même à notre âge avancé il est toujours possible de marier soirées et excursions, nous avons parcouru les incontournables des alentours de Sydney…

Après 6 semaines en Australie, dans la «Hunter Valley» nous avons enfin eu droit à notre dégustation de vin dans le vignoble, dans les «Blue Mountains», la nature nous a encore une fois coupés le souffle et à Port Stephens, nous avons dit au revoir au grand Pacifique…

Sydney, Manly, Bondi

Nach der Verabschiedung meiner Eltern, hiess es am nächsten Morgen den nächsten Besuch in Empfang zu nehmen. Mit unserem neuen Dreiplätzer-Camper machten wir uns also auf zum Flughafen um RÖÖÖÖÖÖÖÖÖÖOTELI nach so langer Zeit wieder in die Arme zu schliessen!

Immer noch ohne Strassenkarte aber jetzt mit einem alten Australien-Kenner an Bord, brachen wir auf, Sydney und Umgebung zu erkunden. Einmal mehr provitierten wir von den Barbecue-Facilities, den Stränden und allem, was dieses Land für heitere Stunden so zur Verfügung stellt.

Mit Schiff, Camper und zu Fuss erkundigten wir Sydney, sicher eine der durch Menschenhand geschaffenen Perlen Australiens. Die Harbour Bridge, das Opera-House und die Sky-Line aus nächster Nähe zu bestaunen ist sicher etwas, was man so schnell nicht wieder vergisst…

Après avoir dit au revoir aux parents de Matthias, nous avons accueilli la visite suivante le lendemain matin. Avec notre campeur de trois places, nous sommes donc partis à l’aéroport pour resserrer dans nos bras RÖÖÖÖÖÖTELI après si longtemps !

Toujours sans carte mais maintenant avec un vieux connaisseur de l’Australie à bord, nous sommes partis découvrir Sydney et ses environs. Dans les alentours de Sydney, nous avons pu profiter une fois de plus des barbecues, des plages et de tout ce que ce pays met à disposition pour des soirées festives.

En bateau, en van et à pied, nous avons parcouru Sydney, certainement une des perles australiennes créée par des mains humaines. Pouvoir admirer l’ « Harbour Bridge », l’opéra et la « Sky-line » de Sydney est certainement quelque chose que l’on n’oublie pas de si tôt.

Lakes Entrance – Eden – Sydney

En partant de Melbourne, 400 kilomètres de paysages monotone à l’intérieur des terres nous attendaient avant la région des lacs de Gippsland. Arrivés là bas, nous avons découvert la plus grande étendue d’eau à l’intérieur des terres d’Australie, trois lacs interconnectés et séparés de l’océan par une dune connue sous le nom de « Ninety Mile Beach », magnifique !

En remontant la côte sud-est vers Sydney, des paysages vallonnés recouverts d’une forêt dense (et incroyablement assourdissante !) nous ont conduits successivement vers Eden puis Bulli pour des arrêts barbecue et nuit au bord de la mer. Il a fallu ensuite dire au revoir à notre van qui nous a vaillamment mené depuis Perth pour l’échanger contre un trois places !

Nach Melbourne warteten 400 Kilometern recht monotone Landschaften auf uns. Die See-Region “Gippsland” brachte dann die Kamera aber wieder gehörig ins Schwitzen. Die drei unter einander verbundenen und vom Meer durch den «Ninety Mile Beach» getrennten Seen, bilden die grösste Wasserfläche auf dem Australischen Kontinenten. Traumhaft!

Unser Weg entlang der Südostküste führte durch hügelige Waldlandschaften nach Eden und Bulli, wo wir einmal mehr von den Übernachtungsmöglichkeiten am Strand profitierten. In Sydney hiess es dann, den uns seit Perth true beiseite gestandenen Camper zu verabschieden und einen neuen Dreiplätzer in Empfang zu nehmen.