- Wenn ein wildfremder Mann beide deine Hände nimmt, dir tief in die Augen schaut und dich dann umarmt
- Wenn du bereust, nicht mehr Sprachen gelernt zu haben (Englisch bringt hier definitiv nichts mehr)
- Du brauchst nicht Ethnologe zu sein um festzustellen, dass du näher an der chinesischen als an der schweizerischen Grenze bist (Achtung : Lass dich von den recht zahlreichen, in den 40iger Jahren hierhingekommenen, Deutschen nicht verwirren!)
- Keiner schaut dich an, keiner grüsst dich spontan – jedes von dir ausgesprochene «Salam» wird jedoch erwiedert
- Wenn zwei verschiedene Währungen im Umlauf sind und du einfach überhaupt nichts begreifst (wenn du drei Glacen mit 50’000 Manat bezahlst, erhältst du 6 Manat zurück - fährst du dann noch eine kurze Strecke im Taxi verbleiben dir 10’002 Manat…)
- Wenn auf den Strassen nicht Schnee sondern Sand gepflügt wird
- Die Frauen tragen wunderschöne Samtröcke und farbige Kopfbedeckungen
- Ein echter Turkmene geht nicht ohne sein traditionnelles Hütchen aus dem Haus
- Auf der Strasse gibt es vor allem Opels (die Mehrzahl mit deutschem Autokennzeichen, jedoch auch welche mit Schweizerischem) und Ladas
- Kein Getränkestand, kein Teppichladen, kein Restaurant ohne ein peinlich genau ausgemittetes Porträt von Niazov an der Wand …
- Kein Gebiss ohne mindestens einen Goldzahn
- Esel haben von Ihrer Wichtigkeit als Lasttiere noch nicht viel eingebüsst
- Auch hier wirst du hie und da eingeladen, auf einem Teppich platzzunehmen um einen “Chay” zu schlürfen
- Quand un parfait inconnu prend tes mains dans les siennes, te regarde profondément dans les yeux et par la suite te prend dans ses bras
- Quand tu regrettes de ne pas avoir appris plus de langues (l’anglais ne sert définitivement plus à rien ici)
- Tu n’as pas besoin d’être ethnologue pour remarquer que tu es plus proche de la frontière chinoise que de la frontière suisse (attention ne te laisse pas tromper par les relativement nombreux allemands qui sont arrivés ici dans les années 40)
- Personne ne te regarde, personne ne te salue spontanément – tout «Salam» que tu prononces obtiendra une réponse
- Quand différentes monnaies sont en circulation et que tu ne comprends strictement rien (quand tu paies deux glace s avec 50.000 Manats, on te rend 6 Manats – si par la suite tu fais un petit trajet en taxi, il te restera après 10.002 Manats)
- Quand dans la rue, ce n’est pas la neige que l’on dégage mais le sable
- Les femmes sont magnifiquement habillées avec de grandes robes, souvent de velours, et de toques colorées
- Les Turkmènes ne se baladent jamais sans leur chapeau traditionnel
- Sur la route circulent surtout des Opels (la majorité avec l’autocollant allemand «D», bien qu’il y ait aussi des suisses «CH» !) et des Ladas
- Pas un magasin de tapis, pas un restaurant sans son portrait de Niazov accroché au mur
- Pas une dentition sans au moins une dent en or
- Les ânes n’ont pas perdu leur importance comme moyen de transport de marchandises
- Ici aussi tu seras invité à t’asseoir de temps en temps sur le tapis d’inconnus pour boire un «chay»
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