mercredi 29 avril 2009

Pivo, Rakija,...

Damit niemand auf den Gedanken kommt, dass wir hier verdursten, schneiden wir jetzt auch das Thema Getränke kurz mal an.

Unsere neuste Entdeckung ist, dass Wasser auf Türkisch « Su » heisst. Bisher gab’s nämlich wie zuhause einfach Hahnenwasser und wir kannten nur die Begriffe « Pivo », « Bira » und « Rakija ».

Bier/Pivo/Bira - Nachfolgend unsere Favoriten :
 Bosnien&Herzegowina: « Sarajevsko Pivo » – das Siebtbeste Pils dieser Welt (so steht es auf der Flasche und so wurde es uns in gebrochenem Deutsch auch von jedem zweiten Kellner erklärt)
 Serbien&Montenegro: « Jelen Pivo » – gibt’s fürs Picknick mit der Familie auch in der praktischen 2-Liter-Petflasche
 Türkei: « Efes » – Besonders gut weil’s einen an die ganzen Kebab-Stände in der Schweiz erinnert

Rakija* - unser Favorit ist die Slivovitz :
Ob am Morgen um 8 beim Einchecken ins Guesthouse, um 10 beim Kaffee mit der Familie, um 12 zum Apero, um 14 zum Digestif, … Sie passt einfach immer!

In Kroatien und Serbien&Montenegro gibt es übrigens auch ganz guten Wein.

*Die Oberkategorie für Schnäpse aller Art nennt sich in Kroatien, Bosnien, Bulgarien, Serbien und Montenegro rakija (ракия). In den betreffenden Ländern erhält man bei der Bestellung einer rakija meist eine šljivovica , d.h. einen Zwetschgenschnaps.
Quelle : Wikipedia
Pour que personne ne pense que l’on est en train de se déshydrater, nous devons maintenant aborder ce thème.

Notre nouvelle découverte est que « Su », est le mot Turque pour dire eau. Jusqu’à maintenant on n’a en effet bu que de l’eau du robinet et nous ne connaissions que les mots « Pivo », « Bira » et « Rakia ».

Bière/pivo/bira - Les suivantes sont nos préférées :
 Bosnie et Herzégovine : « Sarajevsko Pivo » - la 7ème meilleure bière du monde (comme le dit la bouteille ou essaye de nous l’expliquer un serveur sur deux avec ses quelques mots d’allemand)
 Serbie et Monténégro : « Jelen Pivo » - pour le pique-nique en famille, elle existe également en PET de 2 litres
 Turquie : « Efes » - Particulièrement bonne parce qu’elle rappelle les baraques à Kebab en Suisse

Rakia* - notre préférée est la Slivovitz :
Que ce soit le matin à 8h pendant le check-in dans une auberge de jeunesse, à 10h lors du café avec toute la famille, à 12h à l’apéro, à 14h pour le digestif… elle passe toujours!

D’ailleurs, en Croatie et en Serbie et Monténégro le vin n’est pas mauvais non plus.

*Son degré d'alcool avoisine normalement les 40%, mais certaines rakia produites localement peuvent atteindre les 55 à 65%. La Prepečenica est une rakia doublement distillée, dont la teneur en alcool peut parfois dépasser les 70%. Sa forme la plus commune, la slivovitz, est produite à partir de prune qui est l'alcool national serbe, mais on en produit également à partir de raisins, pêches, abricots, pommes, figues, et coings.
Source : Wikipedia

Izmir, Pergame et Ephèse

Nos prochaines grandes étapes ont eu pour destination les ruines Gréco-romaines de Pergame et d’Ephèse. Nous avons quitté Istanbul par bateau rapide pour traverser la mer de Marmara en seulement deux heures (plus de 50 km/h) et pris le train jusqu’à la troisième ville de Turquie : Izmir. N’étant pas une ville très attrayante (des barres d’immeubles à perte de vue) et étant tombés dans un hôtel plus que douteux, nous ne nous y sommes pas attardés.

Un bus nous a rapidement conduit à Pergame, ville à taille beaucoup plus humaine et qui nous a tout de suite semblée beaucoup plus sympathique. Nous y avons visité un des sites de vestiges gréco-romains les plus important de Turquie (en 200 av JC le plus important royaume d’Anatolie). Elle nous semblera par la suite bien petite à côté d’Ephèse ! En plus, nous avons rencontré sur la terrasse de notre pension 3 potes d’apéro Australiens avec qui l’ont fait route commune depuis. Soit dit en passant deux d’entre eux font un tour du monde depuis un ans et pour encore une année, nous sommes des petits joueurs à côté !

Le lendemain, départ pour Ephèse. Là nous avons découvert un site absolument gigantesque. Malheureusement pour nous, environ 3000 personnes, sortis de la croisière s’amuse, ont décidé de le découvrir en même temps que nous !! Nous avons donc pris notre mal en patience et avons attendu deux petites heures sous un arbre, en début d’après-midi… la voie était libre nous étions presque seuls !! Fantastique !!

Nach Istanbul brachen wir auf, die griechisch-römischen Ruinen von Pergamon und Efes zu entdecken.

Ab Istanbul überquerten wir das Marmarameer in einem Schnellboot in nur zwei Stunden (über 50 km/h) und dampften dann im Zug nach Izmir. Wenig begeistert von dieser Stadt und unserer Unterkunft hielten wir den Aufenthalt kurz und reisten am nächsten Tag per Bus nach Pergamon weiter. Dort erkundeten wir einen der wichtigsten römisch-griechischen Ausgrabungsorte in der Türkei (um 200 v. Chr. das wichtigste Anatolische Königsreich). Nach Effes sollten uns diese Ruinen dann allerdings etwas mikrig vorkommen… Auf der Dachterasse unseres Hostels trafen wir nach getaner Arbeit dann auch noch auf drei australische Apero-Genossen. Seitdem sind wir zu fünft uterwegs. Zwei der drei sind übrigens seit einem Jahr auf Weltreise und werden noch ein Jahr weiterreisen – wir sind halt noch Anfänger…

Am nächsten Morgen ging’s dann weiter zur gigantischen Ruinenstadt von Efes. Leider hatten 3000 Traumschiff-Touristen die gleiche Idee wie wir und wir mussten uns für die ersten paar Stunden in den Schatten eines Baumes zurückziehen. Nach dem Mittag war die Piste dann aber frei für uns! Fantastisch!!

Wetter: Sonnig
Temperatur: 20°C

lundi 27 avril 2009

Istanbul

Ein fünftägiger Istanbul-Aufenthalt hat diese Stadt vor einem Jahr in die vordersten Ränge der persönlichen Top-Städte-Liste katapultiert. An dieser Klassierung hat sich auch nach dem zweiten Aufenthalt nichts geändert und diese Faszination in eigene Worte fassen können wir immer noch nicht.

Stellvertretend für einen eigenen Reisebericht gibt’s deshalb einen Auszug aus Orhan Pamuks* “Istanbul”. Darin wird anhand des Hüzün (türkisches Wort für Melancholie) die Atmosphäre Istanbuls beschrieben.
* Orhan Pamuk ist der bedeutendste türkische Schriftsteller unserer Zeit.

Cinq jours à Istanbul il y a un an ont catapulté cette ville dans nos top-ten personnels de nos villes préférées. Rien n’a changé à ce classement après le deuxième séjour et décrire cette fascination par des mots personnels nous est toujours impossible.

On vous propose donc un petit extrait de « Istanbul » de Orhan Pamuk*. En introduisant le concept du Hüzün (mélancolie en Turque) avec lequel il décrit l’atmosphère à Istanbul.

* Orhan Pamuk est l’écrivain contemporain le plus connu de Turquie.

To feel this Hüzun is to see the scenes, evoke the memories, in which the city itself becomes the very illustration, the very essence, of Hüzün. I am speaking of the evenings when the sun sets early, of the fathers under the street lamps in the back streets returning home carrying plastic bags; of the old Bosphorus ferries moored to deserted stations in the middle of winter; of the old book-sellers who lurch from one financial crisis to the next and then wait shivering all day for a customer to appear; of the children who play ball between the cars on cobblestone streets; of the covered women who stand at remote bus stops clutching plastic shopping bags and speaking to no one as they wait for the bus that never arrives; of the crowds rushing to catch ferries on winter evenings; of the city walls, ruins since the end of the Byzantine Empire; of the crowds of men fishing from the sides of the Galata Bridge; of the street photographers; of the little children in the streets who try to sell the same packet of tissues to every passer-by; of the underpasses in the most crowded intersections; of the overpasses in which every step is broken in a different way; of the man who has been selling postcards in the same spot for the past forty years; of young mothers struggling down streets with their three children; of the view of the Golden Horn, looking towards Eyüp from the Galata Bridge; of the crowds of men smoking cigarettes after the national football matches; …

dimanche 26 avril 2009

Orient Express

Nous avons quitté Belgrade avec la perspective de 23h30 de train sur les traces du mythique Orient Express (qui a emprunté plusieurs itinéraires différents selon les périodes).

Nous avons tout d’abord traversé la Serbie avec un rythme effréné de 300 km en 8h ! Ensuite changement de train à Sofia pour rejoindre notre train couchette. Là, nous avons été replongés dans le bon vieux temps des wagons-lits. Un compartiment pour 3 personnes doté d’un coin cabinet de toilette avec lavabo, petit placard et miroir… !

Ensuite ce fut un peu plus violent, trois réveils consécutifs pour notre passage de frontière entre la Bulgarie et la Turquie, dont le dernier à 2h45 où il a fallu se rhabiller et sortir montrer son passeport à un douanier qui nous faisait des blagues… on s’en souviendra !

L’arrivée à Istanbul au petit matin en longeant la mer de Marmara… ça aussi on s’en souviendra !

jeudi 23 avril 2009

Beograd

Die nächtliche Busfahrt von Sarajevo nach Belgrad ist nicht ganz so idyllisch wie die Zugreise von Mostar nach Sarajevo. Die Sitzreihen sind für Appenzeller dimensioniert, der Buschauffeur scheint ein Verwandter Steinbrücks zu sein (jeder Haltestellenname wird so lange durch den Bus gebrüllt, bis auch der hinterletzte Mitreisende aus den Träumen gerissen ist) und ein Rauchverbot in öffentlichen Verkehrsmitteln gibt es nicht. Seid bloss froh, dass ihr nicht auf Weltreise seid…

In Belgrad kommen wir dann aber in den Genuss, durch Géraldine und Benoît (Freunde aus Lausanne und Erstere profunde Belgrad-Kennerin) zu den interessantesten Plätzen, den schönsten Cafés und den besten Retaurants geführt zu werden. Und last but not least verdanken wir Ihnen eine stark verkürzte Zugahrt nach Istanbul (bedingt durch ein gewisses Schlafmanko). Živeli !

Details zur Fahrt im Orientexpress gibt es im nächsten Beitrag !

La route en bus entre Sarajevo et Belgrade n’est pas aussi idyllique que celle que nous avons eu entre Mostar et Sarajevo. Pour les mesures de l’espace entre les sièges ils ont pris les dimensions d’un Appenzellois*, le chauffeur de bus doit être de la famille Steinbrück** (à chaque arrêt il crie jusqu a ce que le dernier voyageur ait fini de rêver) et l’interdiction de fumer dans les transports publics n’existe pas. Estimez-vous heureux de ne pas faire un tour du monde…

Arrivés à Belgrade, on a la chance d’être accueillis par Géraldine et Benoît (des amis de Lausanne, la première grande connaisseuse de Belgrade) qui nous montrent les endroits les plus beaux, les cafés les plus jolis et les meilleurs restaurants. Last but not least on leur doit un raccourcissement non négligeable du voyage a Istanbul (du à un certain manque de sommeil). Živeli !

Détails concernant notre voyage en Orient express dans le prochain message !

* Réputés pour être les plus petits de Suisse
** Homme politique allemand particulièrement bruyant, notre Sarko à nous

Temperature: 20°
Meteo: Nuageux

Nourriture, deuxième

Il faut donc que l’on refasse un petit arrêt bouffe pour vous décrire ce que l’on a mangé pendant ces dernières semaines !

La nourriture que l’on trouve partout est essentiellement à base de viande sous toutes ces formes : en feuilleté, avec du pain, en brochette, en saucisse…

En voici les deux exemples les plus courants:
- Burek : feuilleté fourré à la viande. On le trouve sous forme de rectangle en Croatie, sorte d’escargot en Bosnie (ci-contre en photo)
- Cevapi : grande pita (pain plat) ouverte sur un côté et garnie de petite saucisse de bœuf ou d’agneau et d’oignon cru. On le mange souvent accompagné d’un yaourt. Nous en avons mangé une fois un pour le petit déjeuner à 8h30, croyez moi ça tient au corps !

Ce qu’il faut également noter c’est que les oignons sont partout ! On nous sert à table les oignons frais entiers à croquer tout au long du repas…

Pour fêter l'arrivée de Mathieu qui nous rejoint jusqu'à Istanbul, on a été chercher un vrai festin sur le marché. D'ailleurs c'est ce à quoi ressemblent beaucoup de nos pique-niques!

lundi 20 avril 2009

Sarajevo

Im Zug von Mostar nach Sarajevo bestaunen wir frühstückend die herrlichen Frühlingslandschaften. Die Umgebung wird immer hügeliger und in der Hauptstadt der olympischen Winterspiele 1984 angekommen, warten im Hintergrund auch tatsächlich ein paar Schneeberge auf uns !

Dem Ritual der letzten Tage folgend lassen wir uns am Bahnhof das erstbeste “Sobe” (Zimmer) aufschwatzen. Nach kurzem Nasenrümpfen beim Entdecken der Unterkunft und dem rasch gefällten Entscheid, dass Umziehen viel zu anstrengend ist (wir sind schliesslich im Urlaub) sind wir bereit, Sarajevo zu entdecken.

Wie in Mostar sind auch hier die Spuren des Krieges nicht übersehbar (Sarajevo war von 1992-1995 komplett von der Umwelt abgeschnitten und wurde während dieser Zeit mehr oder weniger kontinuierlich angegriffen). Die Schönheit der Stadt (hügelige Lage, historische Gebäude, Miljacka River) wird denn auch getrûbt von Ruinen und unzähligen Friedhof-Meeren…

Dans le train de Mostar à Sarajevo, nous prenons notre petit déjeuner devant un magnifique paysage de printemps. Les alentours sont de plus en plus vallonnés et en arrivant dans la capitale des JO d’hiver de 1984, des montagnes nous accueillent effectivement !

Suivant le rituel des derniers jours, nous nous laissons convaincre à la gare par la première personne nous proposant une chambre. Tordant le nez quelques instants en découvrant le lieu, nous décidons cependant rapidement qu’un déménagement est trop fatiguant (on est quand même en vacances) et que nous sommes prêts à découvrir Sarajevo.

Comme à Mostar, les traces de la guerre sont innombrables (Sarajevo a été entre 1992 et 1995 complètement coupé du monde et a été pendant cette période presque continuellement attaqué). La beauté de la Ville (les collines entourant la ville, les monuments historiques, la Miljacka River) est un peu amoindrie par les ruines et les cimetières…

jeudi 16 avril 2009

Mostar

Notre entrée en Bosnie Herzégovine marque un tournant dans notre périple. Ca y est, ça commence à sentir l’orient ici !! Les minarets se mêlent aux croix au dessus des toits, le muezzin rythme les journées… bref l’islam donne à ces paysages occidentaux un côté bien oriental !

Un autre aspect, moins agréable a bien changé en traversant la frontière, les marques de la guerre sont partout omniprésentes et nous impressionnent. Les ruines ne se comptent plus dans les villes et à peu près la moitié des bâtiments est criblée d’impactes de balles… ça nous fait froid dans le dos…

Nous nous rendons à Mostar, ville qui malgré avoir été une des plus touchées, a été rapidement reconstruite (étant une des villes les plus touristiques de Bosnie Herzégovine). Encore une fois nous profitons de journées ensoleillées (on a un bol monstre pour le temps) pour découvrir cette ville magnifique.

Départ ensuite pour Sarajevo… à suivre… !

Temperature: 22°
Meteo: Soleil

Dubrovnik


Après une nuit en bus nous sommes arrivés à Dubrovnik, ville fortifiée située à l’extrême sud de la Croatie. Cette ville est la plus touristique de toute la Croatie et l’incontournable de toutes les croisières sur la méditerranée et l’adriatique, on ne pouvait pas rater ça ! On a compris pourquoi dès notre arrivée, c’est magnifique (je vous laisse vous-même découvrir les photos) !!

Nous avons passé notre première nuit chez l’habitant, chez Ivo, notre hôte, qui est venu nous cueillir à la sortie du bus ! Les deux jours se sont ensuite partagés entre la découverte de Dubrovnik et un petit farniente sur la plage… avant de reprendre la route pour la Bosnie Herzégovine !

Température : 22°C
Météo : Soleil et nuages

lundi 13 avril 2009

Kroatische Küche

Was wir uns in den ersten drei Tagen Kroatien alles so genehmigt haben (Auszug) :

- « Janjetina » : Spanferkel ohne Ferkel aber mit Lamm
- Ranch-Cake : Vielleicht keine kroatische Spezialität aber ein absoluter Renner (man backe einen Zitronen-Kuchen, verschneide ihn in der Form, giesse Schokolade darüber und stürze sich drauf…)
- Bräteln : Wisst ihr ja selber wie’s geht – als Alternative zu Chips eventuell mal frische Zwiebeln (die mit den grünen Stängeln) versuchen.
- Crème-Schnitte : Marko behauptet, die kommt aus Kroatien – ich behaupte, die Dinger stammen aus Münsingen. Gut sind sie beide… (Ähnlich verhält es sich übrigens mit der Schwarzwäldertorte)

Was die Mengen anbelangt : Der Durhschnitts-Kroate isst über Ostern 30 Eier und 250 Gramm Schinken. Wir haben Frankreich und die Schweiz gebührend vertreten – die Zahlen werden nächstes Jahr höher sein !

dimanche 12 avril 2009

Zagreb

Nous sommes arrivés à Zagreb où nous attendait Marko, un ami Croate de Mattthias, sa femme Mariana et leurs deux filles. Nous avons vraiment été accueillis comme des rois, nous n’avons pas eu le droit de lever le petit doigt pour aider et ils nous ont préparé un super planning pour nos quelques jours ici.

Le premier jour, nous sommes allés en voiture au parc national « Pliticka jezera » qui se trouve au sud ouest de Zagreb. Il s’agit en fait de kilomètres de chutes d’eau qui se succèdent dont la couleur est absolument exceptionnelle, on se croirait aux Caraïbes, heureusement que ce n’est pas le plein été parce que la baignade était interdite et qu’on aurait terriblement eu envie de sauter dedans !


Deuxième et troisième jour, nous somme partis à la découverte de Zagreb et avons fêté pâques dans la famille de Marko. Autant vous dire qu'il n'y a rien de mieux pour découvrir un pays et sa culture! Génial!!

samedi 11 avril 2009

De Slovenie en Croatie

Ljubljana est décidément une ville très sympa, petite, mais très sympa ! Le centre se concentre sur 4 rues autour de la rivière qui traverse la ville. On a effectivement l’impression que les gens passent leur temps dans les cafés et ne mangent qu’au resto (on a mis environ ¾ d’heure pour trouver un supermarché où nous acheter notre déjeuner !).

Nous découvrons quelques paysages de la Slovenie à notre départ, par le train qui nous dirige vers la Croatie. Dans le guide, ils décrivent cela comme la suisse des Balkans et c’est pas loin d’être ça ! De jolies maisons, dans des paysages vallonnés voir montagneux, Matthias rêve déjà d’aller chausser ses skis…

mercredi 8 avril 2009

Ljubljana


Ljubljana
Mise en ligne par mondereise
On a donc pris ce train de nuit de Zürich à Ljubljana. 10 heures de train, suffisamment pour lire quelques lignes sur notre première destination avant de s’endormir. Dans le lonely planet je lis donc: « […] squares wind picturesquely around the castle bluff – delightfully sprinkled with cafés, they are arguably Ljubljana’s greatest overall attraction”. Rassuré je m’endors – on devrait pouvoir s’entendre avec ces Ljubljanais…

Après une journée dans cette ville je confirme : des bistrots à perte de vue, des gens pas particulièrement méchants ! Sinon (juste pour préciser) : ici c’est le printemps et la capitale a quand même pas que des bistrots qui attirent l’attention – voir les photos

Demain on part pour zagreb – histoire de nous débarrasser des 4kg de toblerone qu’on trimbale (pour l’explication, c’est un pari datant de plusieurs années)…

mardi 7 avril 2009

Ciao Tutti


Départ
Mise en ligne par mondereise
Voilà un petit résumé de nos derniers jours en terrain connu :

J’ai quitté Paris vendredi pour rejoindre Matthias à Berne. Matthias avait loué une tour au bord de l’Aarre (rivière qui passe à berne pour les français) où nous avons fêté notre départ… fête mémorable !! Nous avons été gâté par tout le monde et sommes prêts pour affronter la faim (avec des chocolats à gogo et de la nourriture lyophilisée…mmm) la soif (vin et vin chaud lyophilisé)…en résumé prêts pour l’aventure !

Nous avons ensuite passé le week-end avec la famille de Matthias où bien entendu l’émotion était au rendez-vous au moment du départ.

Les sacs sont désormais bouclés et nous n’attendions plus que le passeport de Matthias que nous avons reçu ce matin. L’attente de nos visas pour le Turkménistan aura été bien compliquée. Pour vous résumer cela en quelques mots voici notre roman turkmène : je suis allée tout d’abord à l’ambassade à Paris déposer nos deux passeports, ils m’ont refusé le passeport de Matthias… j’ai donc dû lui renvoyer en Suisse (à l’armée !!) pour qu’il l’envoie à son tour en Allemagne avec un nouveau formulaire. Deux semaines et demi plus tard, toujours aucune nouvelle de l’ambassade qui m’avait dit qu’ils me recontacteraient sous 10 jours. Au bout d’une semaine d’appels, j’arrive enfin à les avoir et ils me disent qu’ils n’ont aucune nouvelle de mon visa. Petit vent de panique à ce moment puisque dans les autres ambassades ils envoient les passeports dans le pays pour faire faire le visa… je me demande donc si le mien n’est pas tranquillement encore au Turkmenistan ! La semaine précédant mon départ je me suis donc rendue à deux reprises à l’ambassade et découvre que ma première demande n’a pas été envoyée complètement et que l’ambassade a donc dû faire une demande en urgence, mais qu’heureusement mon passeport est resté à Paris ! La veille de mon départ, une dernière visite m’a permis de récupérer mon passeport mais sans visa turkmène, ils ont bien le numéro d’obtention mais ont un problème pour imprimer !!! Ils me font donc un petit post-it pour me confirmer son obtention et me disent qu’ils me l’enverront par fax le lundi suivant. J’ai bien reçu le fax mais qui n’est qu’une confirmation de l’obtention du visa. Nous irons donc le récupérer dans la 1ere ambassade Turkmène que nous croiserons. Matthias, a eu un peu plus de chance, nous avons dû attendre et décaler notre départ d’une journée mais son passeport nous attendais ce matin à la poste de Zurich… le départ est donc pour ce soir !

21h40, un train de nuit avec deux couchettes nous attend pour que l’on puisse se réveiller demain matin à Ljubljana en Slovenie !!