mercredi 1 juillet 2009

Duchanbe

Nach 7 Stunden im 4x4 über Stock und Stein kann sogar ein sowjetischen Hotel “heimelig” sein… Die Fahrt von der tadschikischen Grenze führte zuerst entlang des Serafschan auf 3700 m hoch in den Schnee des Serafschan-Gebirges. Auf der anderen Seite gings vorbei an unzähligen chinesischen Bauarbeitern wieder runter ins heisse Duschanbe. Obwohl der offizielle tadschikische Minimal-Monatslohn gerade mal bei 4 USD liegt, sind es hier chinesische Firmen, die Stromleitungen, Strassen und Tunnels bauen…

Wenngleich das Thermometer in Duschanbe tagsüber nicht unter 30° fällt, ist die Stadt mit ihren vielen Plätzen und Alleen doch so etwas wie erfrischend. Würde hier noch die Aare durchfliessen wäre es wohl der ideale Ort, um sich mit chinesischer Administration vertraut zu machen! Ob die Aare dabei geholfen hätte, die Enttäuschung einer Visa-Verweigerung nach 7 Tagen warten zu überwinden, mag ich allerdings zu bezweifeln… Wir versuchens in Bishkek noch einmal...

Weitere spannende Aspekte Dushanbes:
- So offensichtlich wie hier ist die Schere zwischen Arm und Reich wohl kaum woanders zu sehen (ein tadschikischer Banker verdient 200 Somoni oder 50 Dollar im Monat, ins Drogengeschäft verwickelte Businessleute fahren am liebsten fette BMWs oder Hummers - das Geschäft mit Drogen soll 50% zur tadschikischen wirtschaftlichen Wertschöpfung beitragen)
- Southern Fried Chicken (die wohl besten Pommes Frites östlich von Wien)

Après 7 heures en 4x4 sur une piste chaotique même un hôtel soviétique peut être chaleureux… Le trajet entre la frontière Tadjike et Douchanbe longeait tout d’abord la… puis menait à 3700 mètres dans la neige pour enfin redescendre vers Douchanbe. Sur la route, d’innombrables travailleurs chinois, logés dans des tentes précaires tentaient de rendre quelques portions de route plus praticables. Bien que le salaire minimal Tadjike soit de 4 dollars par mois, ce sont les entreprises chinoises qui construisent la plupart des routes et lignes électriques au Tadjikistan.

Bien que le Thermomètre ne descende pas en dessous de 30° à Douchanbe, la ville avec ses nombreuses places et allées arborées, a tout de même été assez rafraichissante. Si l’Aare s’écoulait ici, ce serait l’endroit idéal pour se familiariser avec l’administration chinoise…

D’autres aspects intéressants de Douchanbe:
- la différence entre riches et pauvres saute aux yeux (un banquier tadjike gagne 200 somonis soit 50$ par mois et des business man impliqués dans le trfic de drogue roulent en BMW ou en Hummer – le trafic de drogue engendre 50% de la richesse du pays)
- Southern Fried Chicken (probablement les meilleurs frites à l’est de Vienne)

Aucun commentaire: